Simon Norfolk

Simon Norfolk

#Photographe

After attending the Universities of Oxford and Bristol, Simon studied Documentary Photography at Newport in Gwent. He learnt photojournalism working for the far-left press through the early Nineties, in particular as staff photographer for Living Marxism Magazine. In this time he did extensive work on fascism and the far right (especially the British National Party), anti-Racism issues, the Poll Tax and Northern Ireland. Simon also covered Eastern Europe at the fall of the Berlin Wall and issues around resistance to the Gulf War. He still work's for a variety of British and European magazines.

Simon gave up photojournalism in the mid nineties in favour of landscape photography and began work on his book 'For Most Of It I Have No Words: Genocide, Landscape, Memory'. This work focuses on the landscapes and remains of the places where genocide took place in the 20th century. The project took four years to complete and was published as a book in 1998. The exhibition of the work has toured throughout the UK and Europe and is presently touring in America. Simon is currently working on a project about the 500-year genocide of the Indians of North America.

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Simon Norfolk est un photographe paysagiste dont le travail de ces dix dernières années a été centré autour de la question du « champ de bataille » sous toutes ses formes. Dans cette optique, il a mené ses projets photographiques au sein des pires zones de conflits et de réfugiés, mais aussi en photographiant des super-ordinateurs destinés à dessiner les systèmes militaires ou bien à tester les lancements de missiles nucléaires. Son travail est internationalement reconnu aujourd’hui : il a gagné le Prix Dialogue aux Rencontres d’Arles en 2005 ; le Infinity Prize du Centre international de la photographie (NYC) en 2004 ; le Foreign Press Club of America Award en 2003 ; et a été le lauréat du European Publishing Award en 2002. Il a produit trois monographies, dont « Afghanistan – Chronotopia (2002) ; For Most Of It I Have No Words (1998) sur les paysages de génocide, « Bleed » (2005) sur la guerre en Bosnie et enfin Burke + Norfolk (2011), photographies de la guerre en Afghanistan. Ses œuvres font partie de collections telles que celle du Museum of Fine Art Houston, de la Deutsche Bourse Art Collection de Francfort et également du British Council. En 2012, la série « Photographs from the war in Afghanistan » a été montrée pour la première fois en France à l’occasion du festival Photomnales de Beauvais. Simon Norfolk a été décrit par un critique comme « le photographe documentaire majeur d’aujourd’hui. Passionné, intelligent et politique ; il n’y a pas d’autre photographe qui a sa vision et sa clarté ».