Qui ne connait pas le topos du lieu idéal, du lieu refuge où le héros de chaque film disparaît un temps ?
Bien sûr, ce tableau manquerait de couleur sans l'un des protagonistes intime avec le disparu, celui qui se souvient de l'attachement de son ami à ce lieu, celui qui le retrouvera alors, seul et pensif, jouissant du pouvoir de cet endroit secret, magique, territoire de l'intime. Cet endroit qui permet de prendre du recul, de la distance, de se sentir en sécurité et loin de toutes obligations ou conventions sociétales.
© Ernesto timor tous droits réservés
Ernesto Timor est cet ami intime, celui qui a voulu pénétré le quotidien d'individus, amis ou incon...
Portes ouvertes des ateliers d'artistes à Montreuil-sous-bois. Les très lointains s'en moquent. Les voisins un peu aussi. Les autres viendront par centaines s'acoquiner de l'autre côté du périph, sans doute, et iront même au-delà du métro, portés par leurs pieds, leur vélo ou l'improbable mais très attendue navette municipale, par exemple jusque dans ce grand "lieu public" des Ramenas où j'exposeraien étroite compagnie.
Il y a aura des fragments de plusieurs lignes d'images récentes, des extraits de jardins, des foulées urbaines, une pincée de sauvageonnes......
"Pour que tu ne perdes pas le fil"
concert / projection jeudi 27 avril 19 h à La Méduze (Lyon 1er) : Jeff Duschek (post-rock) + Ernesto Timor (films photographiques)
dans le cadre du vernissage de l’exposition "Tiré au cordeau", qui confronte 9 grands tirages extraits de la suite « Mes champs visuels » d'Ernesto Timor aux images de Emre Orhun.
Exposition du 27 avril au 16 mai 2017
Vernissage jeudi 27 avril à partir de 19h
La Méduze, 26 rue Sergent Blandan, 69001 Lyon
http://www.lameduze.fr
En savoir plus sur le projet : http://www.ernestotimor.com/cordeau
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Le festival des Balades photographiques de Seyssel, pour sa deuxième édition, nous transporte à travers des univers irréels, captivants et drôles. Pendant 11 jours, des photographes passionnés, professionnels et amateurs, vont nous émouvoir et ouvriront les portes de notre imaginaire.
Les Balades vous emmèneront à la Grenette, la Maison du Haut-Rhône et l’Office de tourisme du pays de Seyssel pour découvrir 10 expositions sur 3 thèmes.
Les thèmes choisis déclinent des visions bouleversantes de notre monde par des angles d’approches variés : par le rire (HUMOUR) avec Nicolas Boutruche et Malo, par le rêve (RÊVE ou REALITE ?) avec Julie de Waroquier, Ernesto Timor, Marlène Bisso...
La Galerie, Espace culturel, cour Émile Zola, 77370 Nangis. Exposition du 23 janvier au 6 février 2019, Vernissage le 23 janvier à 20h. Ouvert les mardis et mercredis de 14h à 18h, les samedis et dimanches de 15h à 18h.
Dans la tradition des clichés de travailleurs posant avec la solennité de leur fonction, le photographe Ernesto Timor a entrepris une galerie de portraits d’anonymes en travailleurs fictifs. Chacun se présente à nous avec son prénom véritable et le métier imaginaire qu’il s’est attribué, incarnation éphémère d’une vocation impossible ou allusion grinçante au monde du labeur. La scène est sobre et plausible : rien de plus qu’un geste, un outil improbable, une façon d’être, un décor emblématique de la profession… lumières et décors naturels !
Les textes complétant...
Mon lieu secret
(des Lyonnais dans l’œil d’Ernesto Timor)
s’expose à la Croix Rousse
du 18 février au 8 mars 2014 salle d’exposition de la Mairie de Lyon 1er
Depuis bientôt trois ans, le photographe Ernesto Timor va à la rencontre des Lyonnais(es) dans leurs lieux secrets. Chacun pose dans le décor qu’il s’est le mieux approprié, là où résonne l’écho le plus sincère. Les fragments visibles de la ville, présents dans chaque image, composent au fil de cette saga un portrait intime de Lyon vu par ses habitants.
Ce crû 2014 expo différera sensiblement de la précédente édition (à la Passerelle / MJC Monplaisir, en résonance &agrav...
L’exposition
Le sens de « Mon lieu secret » a été de photographier les gens dans un cadre qui prolonge peu ou prou leur paysage intérieur. Un lieu auquel ils tiennent profondément, d’ampleur variable (du grand panorama au petit cabinet), privé ou public, mais qu’ils ont envie de me présenter : un lieu dont ils sont prêts à entrebâiller le secret pour le plaisir d’un partage pas banal. Chacun est libre d’interpréter à sa façon cette notion de lieu secret, je ne pousse personne vers du plus typique, du plus insolite ou du plus intime que son choix initial !
Installé à Lyon depuis trois ans, j’y suis curieux de son urbanité dans les deux sens d...
Je vous invite à un voyage dans mon ensemble de cartes postales Timor Rocks ! (77 parues au 15 mai 2013, 7e année !)
Tous les mois, je pressens quelle image et aucune autre aura sa place dans cette collection virtuellement timbrée. Cela parle de réel, de doute, de petites et grandes illusions, de présences furtives. Esthétiquement, pas de préméditation, plutôt une ligne qui s’est dégagée d’elle-même, avec le souci qu’ont tous les périodiques (même si celui-ci tient initialement en un rectangle muet de 10 x 15 cm) : chaque fois veiller à surprendre en douceur tout en restant familier, faire se rencontrer des publics aux approches différentes. Il s’agit là d’un genre de co...
Les limites nous regardent
photographies d’Ernesto Timor
Ingrédients nécessaires : un paysage, un habitant qui en explore les bornes, enclin à laisser le photographe se pencher par dessus son épaule. Les limites nous regardent est un projet que je mène depuis plusieurs années, une manière d’appréhender les gens sur leurs « terres » ou, plus largement, dans des décors chargés de sens pour chacun. Des limites imprévues se sont dessinées, seuils qu’on hésite à franchir, pointillés que parfois on est seul à voir.
© Ernesto Timor
Le cadre de l’image unique ne sort pas indemne de ce voyage : où sommes-nous exactement ? Le dou...
Les limites nous regardent
photographies d’Ernesto Timor
Ingrédients nécessaires : un paysage, un habitant qui en explore les bornes, enclin à laisser le photographe se pencher par dessus son épaule. Les limites nous regardent est un projet que je mène depuis plusieurs années, une manière d’appréhender les gens sur leurs « terres » ou, plus largement, dans des décors chargés de sens pour chacun. Des limites imprévues se sont dessinées, seuils qu’on hésite à franchir, pointillés que parfois on est seul à voir.
© Ernesto Timor
Le cadre de l’image unique ne sort pas indemne de ce voyage : où sommes-nous exactement ? Le dou...
Le Festival des Nuits regroupe des photographes professionnels et amateurs durant 3 jours à Pierrevert, dans le Luberon, région Provences-Alpes-Côtes-d’Azur.
A la fin du festival, un prix est décerné : le Prix du Jury.
Ce festival se caractérise par la volonté d’un groupe d’amis passionnés par la photographie qui a souhaité rendre hommage à des photographes de renom et à d’autres, oubliés ou moins connus.
Le parrain de cette édition sera le célèbre photographe Hans Feurer, photographe de mode très réputé dans les années 70 et 80. Il est de nationalité suisse et a étudié la photographie &ag...
Ingrédients nécessaires : un paysage (souvent à mi-chemin du rural et de l’urbain), un habitant qui en explore les bornes, enclin à laisser le photographe se pencher par dessus son épaule. Nous voici partis à musarder le long des clôtures de toutes sortes — c’est souvent par ces lignes-là que je reconstruis des décors que mon œil peut comprendre. C’est un projet modulaire que je mène depuis plusieurs années, une manière d’appréhender les gens sur leurs « terres ». Initialement centré sur des territoires lisières de l’urbanisation, je l’ai peu à peu recentré, au fil des rencontres, sur des décors plus citadins. Et puis d’autres lim...
Ingrédients nécessaires : un paysage (rural ou urbain), un habitant qui en explore les bornes, enclin à laisser le photographe se pencher par dessus son épaule. Des limites imprévues se font jour, seuils qu’on hésite à franchir, pointillés que parfois on est seul à voir. Le cadre de l’image unique ne sort pas indemne de ce voyage : où sommes-nous exactement ? Le doute est permis… Le gros de l’exposition sera fait d’une vingtaine de ces « Panoptiques naturels », grands tirages de proportions panoramiques. D’autres petites formes seront aussi présentées, mosaïques sérielles qui parlent moins de contemplations frontalières, davantage des lien...
Ernesto Timor est coutumier des résidences photographiques adossées à des saisons d’arts vivants : des séquences d’images réalisées in situ, sur le territoire de théâtres tournés vers leur public. Il en sort des communications de saison qui jouent l’écho et la réinterprétation plutôt que la simple illustration.
Pour 2009-2010, il est à Chevilly-Larue, ville du Val-de-Marne aux portes de Paris. Avec la complicité de la plasticienne Geneviève Grabowski, le voici aux commandes de l’Écarlate, grande créature de toile cirée qui se pose un peu partout sur la ville, et interagit de manière imprévisible avec son environnement (il y aura pavillons, parcs et cit...
Le volet photographique
Expo en accès libre dans le foyer du théâtre à l’occasion des représentations (1 heure avant et après)
et des projections surprise à l’occasion des soirées spéciales.
Photographies d’Ernesto Timor, compagnon de route de ces arts vivants et énervés : dans le fil de ses
improvisations photographiques, comme des mises en scène par le photographe même…
PASSER L’HIVER ?
Un mois de spectacles énervés autour des écritures de François Chaffin
au Théâtre de l’Opprimé (Paris 12)
du 6 au 31 janvier 2009
Théâtre de l’Opprimé – 78, rue du Charolais – 75012 Paris
M Reuilly-Diderot / Gare de ...
A chaque saison du Théâtre de Bligny (en Essonne, près de Limours), le challenge est d’inventer une nouvelle manière de décliner en photo le lien entre ce lieu de résidence et de création et son environnement, sorte de cité médicale au milieu des champs...
Un éventail de gens de l’hôpital de Bligny, travailleurs (médicaux ou autres) et patients, ont posé, sur leur lieu de vie ou de travail, pour Ernesto Timor en compagnie d’un objet incarnant la création de chaque compagnie à l’affiche de cette saison. Galerie de portraits ancrés dans une parcelle de réalité hospitalière, c’est aussi une variation sur comment ce théâtre est porté par les femm...
Exposition de photographies d'Ernesto Timor : une trentaine de "panoptiques naturels" en plein air à La Norville (près d'Arpajon, dans l'Essonne)
Vernissage le 23 mai à 19h30 + parcours en lecture et musique avec la voix de Céline Liger et la contrebasse de Gaël Ascal (à 20h, durée 50mn).
Accès, détails et prolongements sur http://www.timor-rocks.com/limites/
Ingrédients nécessaires : un paysage (au sens propre ou figuré), un habitant qui en explore les bornes, enclin à laisser le photographe se pencher par dessus son épaule. On part à musarder le long des clôtures, on atteint toutes sortes de franges et de lisières. D’autres limites se font jour, paysages intérieurs, seuils...