Communiqué de presse -
"Louise Narbo est née en Algérie. Au lendemain de la guerre d’Indépendance, sa famille s’installe à Paris, où elle vit depuis 1962.
Sa sensibilité la pousse rapidement vers un travail sur l’intime, les petites choses du quotidien, le banal. Louise écrit dans des carnets, «juste quelques lignes», qu’elle superpose à ses photos, «pour que le texte et la photographie se rencontrent». Elle procèdera pendant longtemps par séries séparées: «Les objets orphelins» évoque la perte des parents, de leur lieu et de leurs objets. «Photos de mémoire» parle de la douleur liée à l’éloignement et à ...
Communiqué de presse
Pour cette rentrée 2016, le Loft Photo choisi de mettre en regard les travaux de Louise Narbo et Irène Jonas.
Deux femmes, deux photographes, deux trajectoires, deux séries qui explorent le souvenir familial, le voyage, l’exil.
D’un coté Louise Narbo qui évoque son exil algérien avec sa série «Coupe sombre» sa jeunesse et son déracinement donne une force à ses photos NB.
De l’autre Irène Jonas nous entraîne dans des lieux et des souvenirs de famille qui ont peut être existé... Qui sait ? Le mystère reste entier.
Entre ce que notre mémoire veut garder et ce memento immortalisé par la photo, il se passe quelques chose de particulier : la poési...
Revendiquer les territoires du sensible
La photographie questionne l’origine dans un jeu de regards croisés sur la trace. Que croyons-nous décoder des origines de nos mondes sensibles et intelligibles par la médiation de l’approche plastique? Polysémique, comme un mot trop plein de sens, comme un sens masqué par trop de signes, l’origine se défile quand bien même nous tenterions de la circonscrire à un territoire conceptuel. Dans cette exposition, Origine apparaît, disparaît, navigue entre le visible et l’invisible, et dessine les frontières d’un dialogue en murmures.
Murmure visuel d’une carte des origines ; temps, espace, territoire, point de départ sont autant de constellations sémantiques ...
NOIR(S) une exposition collective proposée par La(b) Galerie ArtyFact du 8 novembre au 21 décembre avec Vincent Bengold, Saida Bettayeb, Cath.An., Nathalie Deposé, Natacha Est Gauchère, Aurélia Frey, Eva Maria Guichard & Lana Land, Max kuiper, Perrine Lamy Quique, Louise Narbo, AnnaKarin Quinto
NOIR(S)
/1° Couleur la plus foncée qui absorbe la lumière
/2° Peau foncée
/3° Obscur, sombre, triste, pessimiste
© Aurélia Frey
Le noir est essentiel.
Dans un monde où les couleurs sont omniprésentes, le noir est le seul à pouvoir révéler une atmosphère parti...
L’Association Hélio est heureuse de présenter les œuvres des trois lauréats de l’édition 2012 de son concours de lecture de portfolios, qui s’est déroulé lors des Rencontres du Livre et de la Photographie à Tourcoing. Trois artistes, trois visions différentes, mais qui s’attachent toutes à interroger notre perception habituelle de l’image, notre compréhension du corps et du monde qui nous entoure.
Première lauréate de l’édition 2012 du concours de portfolio organisé par Hélio, Annabel Aoun Bianco est diplômée de l’Ecole Supérieure d’Art de Bretagne (Rennes). La jeune artiste se consacre à « un travail de recherche sur le r...
L'exposition Bouteilles à la mer, photos & eautres.
Deux expositions collectives sur le thème de l’eau, de la mer, des bateaux, des départs…
A travers une double exposition conçue bord à bord se larguent ici les amarres pour une invitation au voyage au long cours – ou à la trempette prudente.
L’eau, et en particulier le bord de mer, appelle l’homme (un peu moins souvent la femme, paraît-il), stimule l’artiste, galvanise le poète, amuse les enfants, enivre les amants, console le solitaire, apaise tous ses fidèles, navigateurs aux prises avec elle ou vacanciers en simple villégiature.
Point de départ et d’arrivée, qui nous dépasse, nous a précédés et...
Dans la maison de mes parents, je glissais comme une ombre. À vingt ans, je n’avais pas d’image. Comme une infirmité. Un vêtement transparent qui flotte sur le vent. Dans ma chambre, la solitude me renvoyait un cri rauque, sans écho. Je sentais un vide. J’avais peur. Vide de l’enfance car la honte s’en était emparée très loin, au fond de moi. Je me raccrochais aux fils invisibles des mots tracés dans mes journaux intimes. Je marchais dans les rues. J’allais voir des films. J’ai habillé mon corps et maquillé mes yeux. Des hommes me regardaient mais ne me voyaient pas. Je cherchais celui qui pourrait m’inventer. Juste avant le gouffre, j’ai rencontré un homme plein d’ombre et de lumi&eg...
J’ai voulu mettre en correspondance le corps avec la page de papier sur laquelle on écrit quelques mots. Surface sensible de la peau comme une feuille où s’écrit une histoire. Carnets entrouverts et troublants comme un corps nu, abandonné. En fait, j’ai voulu rassembler les outils que j’ai pris pour avoir une image.
...
Dans « Les voyages de la nuit », j’ai essayé de capter quelques images internes, et plus particulièrement celles de mon iconographie onirique.
L’écriture et la photographie se rencontrent. Les mots rentrent dans l’image. Ils s’y logent, insaisissables. L’image est vacillante, des formes se superposent, se condensent, jouent en miroir…
Tenter de retrouver, les yeux ouverts, ces scènes de la vie intérieure.
Les horaires d'ouverture de la Mairie :
Lundi 8H30 à 17H
Mardi & vendredi 8H30 à 19H
Mercredi ...
Quatre photographes se rencontrent pour parler du sentiment d’évasion dans l’image, de la perte de soi, du rêve éveillé.
Votre navigateur ne gère peut-être pas l'affichage de cette image. Vivre je voudrais… Francesco GATTONI
“Vivre je voudrais endormi dans la douce rumeur de la vie”. La série présentée par Francesco GATTONI est un hommage au poète italien Sandro Penna. « Incantato », intraduisible en français, désigne un état particulier : parfois en regardant fixement une scène captivante, notre esprit divague ; il est ailleurs. L’artiste s’imprègne des ces moments rares où les bruits de la vie s’estompent et les images deviennent une sorte de ...
L’ombre
Pour Louise Narbo, il ne reste de l’enfance que le souvenir de l’ennui.
Elle convoquait alors, pour se distraire, ses rêves de la nuit.
Dans cette série, elle a tenté de photographier ces paysages improbables, et retrouver dans la nuit du labo, les yeux grands ouverts, ces scènes de la vie intérieure.
Un long fleuve tranquille Pour Carolle Benitah, l’appareil photographique est une sorte de béquille existentielle qui l’aide à clarifier des situations difficiles à affronter, les « ruptures » de la vie.
L’image photographique permet de se constituer une image du monde où se donne à voir sa propre présence comme preuve de son existence même....
Dans le cadre de la Saison Culturelle
LOUISE NARBO présente : "Hiver fertile"...
Dans le cadre du mois de la photo-OFF LOUISE NARBO présente : "L'ombre"
Pour Louise Narbo, il ne reste de l’enfance que le souvenir de l’ennui.
Elle convoquait alors, pour se distraire, ses rêves de la nuit.
Dans cette série, elle a tenté de photographier ces paysages improbables, et retrouver dans la nuit du labo, les yeux grands ouverts, ces scènes de la vie intérieure....