PAOLO ROVERSI / JONATHAN TORGOVNIK / LÉA CRESPI JEAN-CHRISTIAN BOURCART / CHRISTOPHER MORRIS KLAVDIJ SLUBAN / ARNO RAFAEL MINKKINEN / DIANA LUI ANTOINE D’AGATA / HELLEN VAN MEENE / DARCY PADILLA TINA MERANDON / LAURENT MONTLAÜ / JÉROME BONNET ELENE USDIN / DOROTHÉE SMITH / CHRISTIAN CAUJOLLE JEAN-CHRISTOPHE BÉCHET / PIERRE
DE VALLOMBREUSE PHILIPPE GUIONIE / VINCENT FOURNIER / MARTINE RAVACHE GREGOIRE KORGANOW / LUDOVIC CARÈME .
Les Rencontres d’Arles proposent une programmation dense et variée de stages photographiques ouverts à tous les passionnés pendant l’été, en juillet et août. Un programme qui est désormais complété par des ateliers se déroulant au printemps et le temps d’un week-end le reste de l’année.
L’échange entre les p...
Les stages photo des Rencontres d’Arles sont dirigés par de grands professionnels appartenant à de multiples domaines de la photographie. Le portrait, le reportage, l’édition, le tirage noir et blanc, l’approche documentaire… font partie des pratiques dans lesquelles ils ont su imposer leur regard ou leurs compétences techniques. Leurs travaux sont régulièrement exposés, publiés et édités dans les plus grandes institutions, journaux, magazines et maisons d’éditions.
Au-delà d’apprentissages techniques, ce sont leur vision, leurs expériences et leurs connaissances de l’environnement photographique actuel qu’ils viennent transmettre aux stagiaires.
Cette année les stages de ...
Voilà plus de 10 ans que la Galerie VU' défend des photographes de générations, de nationalités et d’inspirations différentes. Les portfolios présentés dans ce numéro de PRIVATE, aussi divers soient-ils, ont pour dénominateur commun la notion de « géographie mentale ».
Lieux, espaces et territoires y sont envisagés, selon une double perspective – celle de l’artiste et celle du monde –, dans leur rapport à l’esprit.
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For more than 10 years, Galerie VU' has been promoting photographers of various ages, nationalities and inspirations. The portfolios presented in this issue of PRIVATE, as diverse as they are, have as a common denominator the notion of ...
de l'air - Le magazine qui donne à voir N°40
Spécial autoportrait
16 Devant, derrière
À travers 35 autoportraits, de l’air aborde les différentes
formes que revêt cet exercice fondamental dans l’histoire de la
photographie. Illustrations.
32 Je est-il un autre ?
Pourquoi les femmes photographes se mettent-elles plus
facilement à nu que leurs homologues masculins ?
Réponse (parmi autres) de Christian Caujolle.
38 Martin by Parr
Pour clore notre série sur les autoportraits, l’auto-interview
d’un artiste qui ne craint pas l’autodérision.
Reportage
56 Au milieu de l’empire
La route fragile et poétique d’un jeune photographe dans une
Chine en profonde mutation. Un portfolio de Luo Dan, ...
Numéro 50
Date de parution 14/03/08
Prix 5.5 €
Sommaire
-Photo-
Une saison finlandaise
en France
Susanna Majuri
Sanna Kannisto
Ilkka Halso
Gilles Verneret
William Eggleston
Caroline Chevalier
Mohammed Bourouissa
Léa Crespi...
« Ma mort partout, ma mort qui rêve » (*) Les photos de Léa Crespidécrivent un parcours en forme de labyrinthe dans un univers composé d’une succession de pièces qui chacune offre le spectacle de l’abandon et du délabrement. Ce qui est donné à voir, c’est le personnage que compose Léa Crespi qui traverse nu des lieux qui n’appartiennent plus qu’a l’usure du temps. Dans chaque pièce, l’activité humaine s’affiche sur le mode du passé. Son corps habite des espaces dépenaillés, éventrés, dévastés. Sur les murs, des traces d’humidité, des moisissures, des peintures écaillées, des papiers peints lacérés, ...
« Le travail de Léa Crespi s'organise autour d'un protocole dépouillé: une auto représentation, en nu, dans un lieu abandonné par l'activité humaine, lieu qu'elle croise, au fil de son chemin personnel.
Dans ce travail Léa Crespi agit en archéologue. Elle convoque les lieux comme autant de signes de ce qui a été mais n'est plus et qui pourtant porte encore des stigmates de l'histoire humaine. A ces lieux, déchets d'une époque quant cette époque est accomplie, elle oppose sa propre représentation, la vérité de son être, pour mettre à jour la fragilité de l'existence humaine. Peu à peu se met en place un questionnement complexe qui va du rapport de l'homme à son histoire, au temps, aux lieux, mais également à celui du rapport à son propre corps dans une époque encline au refus du vieillissement...
L'Espace Moretti de La Défense, accueille du 11 décembre au 29 janvier, les photographies de Léa Crespi : une série de portraits pour découvrir le quartier de La Défense au travers de ceux qui y vivent, y travaillent ou l'animent...
Depuis 2002, Léa Crespi réalise des portraits des défensiens pour les journaux de l'EPAD puis de l'EPGD. Grands acteurs du site, salariés ou habitants anonymes, ils se sont prêtés au regard de son objectif, à la fois révélateur et amical.
L'EPGD a demandé à Léa de faire une sélection, forcément arbitraire, de ses années Défense en vue d'une exposition à l'Espace Raymond Moretti, histoire de rappeler que La...
Rassemblant une centaine d’oeuvres de 30 artistes de la Galerie VU’, ce parcours inédit suggère des rapprochements entre des photographies très différentes les unes des autres mais qui ont en commun de s’approprier une image tierce. Des images d’images en quelque sorte, livrées au regard et à la réflexion des visiteurs.
L’exposition « Tout l’univers visible n’est qu’un magasin d’images… »
Charles Baudelaire | salon de 1859
Cette exposition collective est un parcours complice à travers la diversité des oeuvres des artistes de la Galerie VU’. Elle propose des rapprochements inattendus et parfois audacieux entre des photographies qui ont en commun de s’approprier une image ti...
Lieux 2002/2007
L’espace est toujours marqué par le temps. Un temps qui l’a dégradé ou, pour le moins, transformé. Mais cet espace, auquel nous n’aurions pas dû avoir accès, s’impose à nous, avec ses peintures écaillées, ses blessures de fils électriques abandonnés, ses minuscules désastres du quotidien parce qu’un corps le traverse, sans l’habiter.
Corps magnifique, sculptural, qui nous oblige à regarder, voir peut-être, l’espace dans lequel il évolue sans se l’approprier, tant il est, toujours, à la limite de l’effacement, de la disparition. Comme une évidente présence qui nous dirait, déjà, que tout est fini. Un corps surgi de ...