Jean-françois Joly #Photographe
Jean-François Joly est né en 1961. Il est photographe autodidacte.
Interview Jean-François Joly : « Photographier, c'est rendre visible » Interview Entretien avec Jean-François Joly Actualité Soiree Lancement de la Revue de CRIME ET CHATIMENT / Oeil Public Livre DIGNITÉ Droits humains et pauvreté livre photo Projection Projections de Photographies Jean-François Joly Exposition Exposition : « Terres d'exil » de Jean-François Joly Exposition Exposition : « TERRES D’EXIL » de Jean-François Joly Exposition La collection, Acte II Exposition Rétrospective du fond photographique de la Galerie du Théâtre Exposition DIGNITÉ Droits humains et pauvreté exposition de photographies Exposition Jean-François Joly photographies à la galerie camayeux Exposition FRONTALES : Jean-François Joly à l'Eté photographique de Lectoure Modifier l'image
Toute sa carrière, que ce soit dans des townships en Afrique en Sud, dans des bidonvilles, ou auprès de toxicomanes, Jean-François Joly a cherché à rendre visible les invisibles. Jusqu'au 5 juin, il présente à la Maison Européenne de la Photographie son exposition Terres d'Exil, qui met en lumière les populations Roms à travers toute l'Europe. Rencontre.
Quand et à quelle occasion avez-vous décidé de vous intéresser aux Roms ?
Le projet m'est venu vers 1996. Je ne l'ai vraiment écrit qu'en 1997, à l'occasion d'une bourse qui avait été mise en place par le Grand-Duché du Luxembourg, la plus grosse dotation à l'époque pour une bourse pho...
« Travailler aujourd’hui sur des gens exclus, ça n’intéresse personne. »
Cette déclaration de François Joly reflète bien la situation actuelle des Roms en France et en Europe. On ne souhaite pas les voir. Ces populations sont devenues presque transparentes. C’est pourtant auprès d’eux que le photographe de l’œil Public a décidé de consacrer ses portraits. Loin du folklore que l’on accepte de montrer de la culture tzigane, Jean-François Joly nous amène à réfléchir sur notre rapport et notre responsabilité dans cette exclusion. Un témoignage important, trop silencieux, lorsque, aujourd’hui, l’état français tente d’envoyer en Roum...
Soiree Lancement de la Revue “ CRIME ET CHATIMENT”/ Oeil Public
Jeudi 4 septembre 2008 à 18 heures,
à EL BOCA BOCA, 1 rue Queya// PERPIGNAN ( à côté de la Place de la Republique)
Lancement du deuxième volume de la Revue Oeil Public a pour thème“ CRIME ET CHATIMENT”, référence explicite au roman de Dostoievski.
> Cette revue a travers 6 portfolios photographiques et des cartes blanches données à deux écrivains, un historien et une journaliste, va aborder la violence sous toutes ses formes.
L‘agence OEil Public a été fondée, il y a douze ans, avec l’ambition de défendre un esprit d’indépendance. Nous débutions dans l’univers de la photo...
Un documentaire de l’OEil public Préface d’Esther Duflo
En coédition avec Amnesty International
Cinq photographes de l’Oeil Public livrent leurs reportages en Inde, Macédoine, Egypte, Mexique et Nigéria : rencontres avec des individus ou des familles dans des situations d’extrême précarité.
Ce manifeste photographique s’inscrit dans la campagne lancée par Amnesty International « Exigeons la dignité » qui a pour ambition de faire comprendre le rôle central des droits humains dans la lutte contre la pauvreté. L’objectif est demettre en évidence l’interaction entre dénuement, insécurité, exclusion et impossibilité de se faire entendre.
Faire appel au trava...
Jean-François Joly fait partie de ces photographes qui s’engagent dans des travaux personnels au long cours au sein desquels l’Homme est une préoccupation essentielle.
Deux projets de photographies documentaires, Naufragés, sur les personnes vivant en marge de nos sociétés, et Terre d’asile, terre d’exil, l’Europe Tsiganes, sur la place des Tsiganes dans la construction européenne, lui ont valu le Prix Alpa de la ville de Vevey ainsi que la bourse Mosaïques du Grand Duché du Luxembourg.
Deux ouvrages, Naufragés de la ville publiée en 1994 et Résonances publié en 2005, rassemblent l’ensemble de ces travaux.
En 2007 Jean-François Joly rejoint l’oeil public.
Fondée en 1995, l’ag...
L’exposition de Jean-François Joly à la Maison Européenne de la Photographie présente pour la première fois au public une trentaine de tirages noir et blanc, réalisés à travers l’Europe entre 1998 et 2013. Dans le prolongement de son travail sur les naufragés politiques, sociaux et ethniques, Jean-François Joly s’est interrogé dans cette série inédite sur la condition des Roms en Roumanie, au Kosovo, en France et en Macédoine. Il livre un témoignage puissant, parfois dérangeant, sur ces populations souvent marginalisées et stigmatisées, à travers une galerie de portraits qui rend toute leur dignité à ces exilés sans terre.
TERRES D’EXIL, L&rsq...
L'exposition de Jean-François Joly à la MEP présente pour la première fois au public une trentaine de tirages noir et blanc, réalisés en Roumanie, au Kosovo, en Macédoine et en France, entre 1998 et 2013. Dans le prolongement de son travail sur les naufragés politiques, sociaux et ethniques, Jean-François Joly s'est interrogé dans cette série inédite sur la condition des Roms. Il livre un travail puissant sur ces populations souvent marginalisées et stigmatisées, à travers une galerie de portraits qui rend toute leur dignité à ces exilés sans terre.
Depuis le début des années 90, Jean-François Joly inscrit le portrait au coeur de ses préoccupations de pho...
A vos marques, prêts, collectionnez !
Dans moins d'un mois, vous pourrez découvrir la prochaine exposition du Centre d'art et photographie de Lectoure :
La collection, acte II. A vos marques, prêts, collectionnez !
En 2012, une exposition s’intitulant «La collection, acte I: une autre histoire» avait ainsi fait (re)découvrir des œuvres de la Collection du CAPL (Kaslauskas, Muriel Olesen Gérald Minkoff, Agence Radost).
En 2014, au tour des œuvres de Giordano Bonora, Arielle Bonzon, Jean-François Joly, Alain Turpault d'être exposées à nouveau. Cette mise en lumière de la Collection sera prétexte à un dialogue avec des œuvres prêtées par des collectionneurs privés. Pour...
Depuis 1994, le théâtre La passerelle a inscrit la photographie contemporaine dans ses projets artistiques, dans ses programmes.
La photographie contemporaine dans tous ses états, dans toutes ses démarches… Des instants capturés aux images imaginées, de la couleur, des noirs et blancs, du social, de l’esthétisme… bref, tous les styles puisque la Galerie du théâtre a voulu être « généraliste » …
Alternant les genres, et au rythme d’une œuvre à chaque exposition, une collection s’est constituée, éclectique sûrement, diversifiée, certainement. Un petit échantillon de la création photographique dans le monde, ces vingt derni&egrav...
Dignité, fondé sur une campagne mondiale d’Amnesty International :
« Exigeons la dignité », est un projet photographique sur le rôle central des droits humains dans la lutte contre la pauvreté par Philippe Brault, Guillaume Herbaut, Jean-François Joly, Johann Rousselot, Michael Zumstein, d’Œil Public.
Ces cinq reportages illustrent des droits fondamentaux essentiels au respect des droits humains : la terre, l’identité, le logement, la santé et la sécurité, en Inde, Macédoine, Nigeria, Egypte et au Mexique.
Rencontres-débats (1er, 8, 15 et 22 juin, sur la campagne « Exigeons la dignité », les objectifs du millénaire des Nations Unies, le p...
Jean François Joly fait partie de ces photographes qui s’engagent dans des travaux personnels au long cours au sein desquels l’Homme est une préoccupation essentielle.
Deux projets de photographies documentaires « Naufragés » sur les personnes vivant en marge de nos sociétés et « Terre d’asile, terre d’exil, l’Europe Tsiganes » sur la place des Tsiganes dans la construction européenne, lui ont valu le Prix Alpa de la ville de Vevey ainsi que la bourse Mosaïques du Grand Duché du Luxembourg.
Deux ouvrages « Naufragés de la ville » publié en 1994 et « Résonances » publié en 2005
rassemblent l’ensemble de ces travaux.
S’...
A la Maison de Saint-Louis. Renseignements au 05 62 68 83 72 et photoalectoure@club-internet.fr Depuis de nombreuses années, j’ai choisi d’orienter mon engagement photographique vers des personnes vivant en marge de nos sociétés. Pour avoir passé de longs moments à leurs côtés, lors de divers reportages, j’ai réalisé à quel point ces gens sont meurtris, blessés, ignorés du monde qui les entoure. Qu’ils soient sans domicile fixe, toxicomanes, issus de communautés minoritaires, leur présent est un enfer physique et moral dont ils ne peuvent s’échapper. Omniprésents dans les rues de nos cités, ces êtres en souffrance nous interpellent, parfois nous dérangent, car il...