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Fragments latinos américains : 15 artistes, 9 pays, 40 ans d'images Collection de la Maison Européenne de la Photographie

Vendredi 03 Août 2012 15:13:22 par actuphoto dans Expositions

Expositions du 19/11/2010 au 28/1/2011 Terminé

Maison de l'Amérique latine 217, Boulevard Saint Germain 75007 Paris France

Mois de la photo 2010 Point information 5,7 rue de Fourcy 75004 Paris France

Au travers de tirages issus de la collection de la MEP, l’exposition propose un kaléidoscope de quinze photographes et vidéastes provenant de neuf pays d’Amérique latine.

Leo Matiz (1917-1998, Colombie) a photographié populations et paysages urbains pendant plus de quarante ans dans la tradition de l’école mexicaine incarnée par des maîtres comme Manuel Alvarez Bravo. Le travail de Graciela Iturbide (1942, Mexique) explore les relations entre l’Homme et la Nature. Elle montre ici des oiseaux dans des poses ébouriffées. Jorge Damonte (1943, Argentine) photographie des célébrités argentines de la politique, de la mode et du spectacle dans les années 1970. Les Autres Amériques de Sebastião Salgado (1944, Brésil), un travail de la même époque, montre les démunis du continent latino-américain.

La manzana de Adán de Paz Errazuriz (1944, Chili) exprime la fraternité, l’espoir de reconnaissance sociale et l’insolence insouciante d’acteurs d’un monde vivant du commerce sexuel. Red and blue with horse de Miguel Rio Branco (1946, Brésil) est une construction poétique recourant à des couleurs plus minérales que végétales. Juan Travnik (1950, Argentine) photographie dans les années 1990 la solitude et la nostalgie d’un Buenos Aires qui disparaît.

Luis González Palma (1957, Guatemala) s’attache au sort des indigènes Mayas et des « mestizos » (métisses européens/amérindiens). Ses portraits jouent sur le blanc des yeux ou la réserve de blanc pour faire ressortir l’âme d’un peuple. Pour Marta María Pérez Bravo (1959, Cuba) qui se met elle-même en scène, le corps est la synthèse d’une expérience, un moyen terme entre mythe et réalité. Les photographies de Roberto Huarcaya (1959, Pérou) transposent à des corps et paysages de son pays les portraits célèbres réalisés par de grands peintres de la Renaissance (Léonard de Vinci, Le Caravage, Cranach). Alexander Apostól (1959, Venezuela) photographie des adolescents dangereux dans leurs banlieues. La série Them as a fountain utilise, dans un contexte totalement différent, un dispositif s’inspirant directement de l’artiste américain Bruce Nauman.

L’oeuvre vidéo la Bandeja de Bolívar / Bolívar’s Platter de Juan Manuel Echavarria (1947, Colombie) symbolise, à travers la pulvérisation d’une assiette, les violences et conflits civils qui secouent la Colombie depuis des décennies. Dans Motel Hotel, Marcos Bonisson (1958, Brésil) joue sur l’apparence d’un long traveling diurne et nocturne, alors que Katia Maciel (1963, Brésil) fait apparaître puis disparaître, dans Inutil paisagem, les barrières qui isolent des minuscules zones vertes urbaines. Thiago Rocha Pitta (1980, Brésil) dans Homage to William Turner se réfère à l’oeuvre de Turner Burial at Sea montrant la combustion d’un bateau sur l’eau sale de la baie de Guanabara.


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