Peter Granser #Photographe
Peter Granser, 33 ans, est originaire d'Autriche et vit à Stuttgart. Son travail remarqué lors des Rencontres d'Arles (Prix Découverte 2002) lui a également valu le World Press et le Prix « Oskar Barnack » décerné par Leica.
Livre Parution du livre « J'ai perdu ma tête » aux éditions Marraine Ginette Livre Alzheimer - Peter Granser Festival Ensemble : les Photaumnales 2011 de Beauvais combattent la solitude en images Exposition La Chambre présente Peter Granser Exposition Peter Granser - J'ai perdu ma tête Exposition Arbeit/Labour - Set 7 from the collection and Archive of the Fotomuseum Winterthur Exposition Impossible Exhibition à Arles Exposition J'ai perdu ma tête de Peter Granser et Etre singuliers de Florence Brochoire Exposition J'ai perdu ma tête - Peter Granser Exposition Marks of Honour A Striking Library Exposition here you are displays the work of eight artists represented by Kaune Exposition Peter Granser - Peter Granser Exposition Leo Fabrizio - Peter Granser - Robert Voit Exposition VACANCES ÉTERNELLES À SUN CITY : Peter Granser à Lannion Modifier l'image
« Il y a des mots qui semblent trop restrictifs et limités , qui sous-entendent la véritable nature et la complexité de leur sens , des mots qui ne sont rien que des codes , dans un exercice de simplifica- tion confortable. « Folie » est l’un d’entre eux . Peter Granser ouvre d’innombrables fenêtres sur un monde inconnu - et par conséquent craint , mis de côté , intentionnellement ou non , mais peut-être dans le but spécifique d’oublier son existence - et il le fait en remplaçant les mots par la photogra- phie . La base de la communication est ce que nous mettons en place pour nous-même quand nous essayons d’interpréter ce qui est autour de nous , avant même que nous tentions toute forme de partage , et les mots viennent plus tard, pour repenser ce...
Alzheimer, de Peter Granser contient 50 photographies traitant de la maladie d’Alzheimer, à travers une série de portraits. Le jeune photographe autrichien Peter Granser a mené son projet sur les personnes atteintes d’Alzheimer dans la Maison Gradmann de Stuttgart, centre d’accueil pour les victimes de la maladie. Cette structure à taille humaine est bien différente des maisons de retraite auxquelles on peut parfois penser. Peter Granser a donc évolué dans cette ambiance plus sereine qu’ailleurs, au milieu de 24 résidents permanents.
En perdant peu à peu la mémoire, et parfois même le langage, ces personnes s’isolent du monde qui les entoure. Cette maladie frappe n’importe qui, les personnes les plus intelli...
La 8e édition du festival photographique les Photaumnales, organisé par l’association Diaphane, se tiendra du 10 septembre au 6 novembre 2011 à Beauvais et dans sa périphérie.
Cette année, le thème Ensemble réunira une vingtaine de photographes français et étrangers parmi lesquels : Sébastien Camboulive, Bertrand Carrière, Céline Clanet, Olivier Culmann, Jean-Robert Dantou, Léo Delafontaine, Joakim Eskildsen, Peter Granser, Rip Hopkins, Elaine Ling, Cédric Martigny, Karen Miranda Rivadeneira, Gilles Perrin, Emmanuel Piau, Simon Roberts, Moira Ricci, Neal Slavin, Ambroise Tézenas, Susan Trangmar, Aurore Valade… L’inauguration des Photaumnales aura lieu le samedi 10 septembre ...
D’origine autrichienne, Peter Granser est fasciné depuis son plus jeune âge par l’Amérique et l’image qui en est montrée en Europe, faite de cowboys et d’indiens, d’étendues à perte de vue et de culture pop. Son premier voyage le mènera jusqu’à Sun City, sorte de ville « paradisiaque » pour retraités, où des milliers d’américains passent le temps et la fin de leur vie. Il nous fait alors découvrir un univers totalement artificiel, coupé du monde, entre orgueil et décadence, entre consumérisme et artificialité, entre euphorie et isolement.
The Pursuit of Happiness : Aux portes de New York ne reste de Coney Island que le spectre d’un lieu mythique, où errent nostalgiques et freaks à la recherche d’une idée perdue,...
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Souvent, le chemin n’est pas très long. Plus court même qu’on ne le pense. De la normalité à la folie. Peter Granser l’a parcouru. Il s’est rendu en voiture dans une maison de fous, dans la province française. Maison de fous. C’est bien provocant. De nos jours, on appelle ce genre d’endroit « institut psychiatrique » ou « centre pour malades mentaux », ou quelque chose de ce genre. Mais Granser a cherché un accès direct à la folie. Et ce qu’on peut détecter derrière la façade des termes et noms techniques. Granser s’est donc rendu dans un asile d’aliénés, là où la folie fait partie du quotidien.
Comment approche...
We each relate to work in our own personal way. We may be employed or self employed; we may have just entered the workforce and have specific goals or we may be enjoying well-earned retirement. Working to earn a living is a salient feature of bourgeois society. It defines social status and belonging, while unemployment and not working bears the menace of being ostracized. From its earliest beginnings, photography has captured how, where and under what conditions people work – not only by in-house photographers, adhering to the perspective and specifications of the management but also by freelance photographers with an open-ended, unfiltered approach to places of production and trade. In both content and motif, the exhibition “Arbeit/Labour” traces the transition from physical labour to automa...
Cette exposition a été initiée par l'agent de photographes, Valérie Hersleven, qui a demandé aux treize photographes qu'elle représente de travailler avec le film instantané "Impossible" nouvellement produit par la société "The Impossible Project". Installés dans une ancienne usine de Polaroid aux Pays-Bas ses techniciens s'emploient à fabriquer à nouveau un film instantané aux caractéristiques analogues aux films de la firme américaine.
La force de cette exposition longtemps considérée comme impossible réside dans la capacité révélée par le talent des treize photographes de présenter un travail de qualité avec un film couleur en...
"J'ai perdu la tête" évoque, en français, une étourderie ou un moment d'égarement, comme un coup de folie sans gravité. "J'ai perdu ma tête" outre la maladresse verbale (ou bien l'anglicisme !) qu'elle dénote se révèle une expression plus lourde de conséquences avec la perte de toute intelligence ou conscience dans la direction de sa propre existence. Le patient qui emploie cette formule dans un entretien avec le photographe Peter Granser parle d'un moment de sa vie où tous les repères affectifs, familiaux et sociaux, toute la construction même de sa personnalité, ont comme disparus. Inversement c'est à un parcours de reconstruction par la photographie, dans un service de psychiatrie avec les p...
J'ai perdu la tête" évoque, en français, une étourderie ou un moment d'égarement, comme un coup de folie sans gravité. "J'ai perdu ma tête" outre la maladresse verbale (ou bien l'anglicisme !) qu'elle dénote se révèle une expression plus lourde de conséquences avec la perte de tout jugement, intelligence ou conscience dans la direction de sa propre existence. Le patient qui emploie cette formule dans un entretien avec le photographe Peter Granser parle d'un moment de sa vie où tous les repères affectifs, familiaux et sociaux, toute la construction même de sa personnalité, ont comme disparus. C'est de cette reconstruction d'un univers, à travers un service de psychiatrie avec ses patients, ses soigna...
Marks of Honour - A Striking Library
Marks of Honour is a photo book project and exhibition organised and curated by Nina Poppe and Verena Loewenhaupt.
MoH was conceived in order to reveal the inspiration that a new generation of photographers have gained from the history of photography in the form of books.
13 international photographers were invited to pay artistic tribute to a publication that has been influential to their own work.
All participating works are limited to three copies, each containing the original photo book and its accompanying homage.
The exhibiton MoH/08 displays the variety of inspirational sources and their tributes through a combination of different media.
Marks of Honour is an ongoing project that aims to create a striking library of contemporary photo books.
Catalog: books@...
The group exhibition "Here you are" displays the work of eight artists represented by Kaune, Sudendorf Gallery for contemporary photography.
These contemporary positions mirror our attitude: A belief in highly focused photographic concepts from both documentary and constructed perspectives.
Jason Lazarus for example utilizes the conceptual self-portrait as a mode of personal and cultural investigation. Nathan Baker explores the relationship between personal and social hierarchies through constructing pictures of common situations that unravel to reveal underlying identities for objects we take for granted. Greg Stimac explores american leisure activities, while Marina Gadonneix analyzes the orchestration of empty TV-Sets. Peter Granser deconstructs the myth of Texas, and Christian Patterson's work is driv...
Je m’intéresse depuis longtemps à la manière dont les États-Unis infl uencent le monde, tant au niveau politique que dans la vie quotidienne.
Suite à un article paru dans un magazine allemand sur “Sun City”, je me suis rendu au fi n fond du désert de l’Arizona dans cette “ville du soleil”, première cité américaine construite exclusivement pour des retraités. Il en existe aujourd’hui soixante-dix aux USA... et aucune en Europe. Toute personne de moins de cinquante cinq ans en est exclue le soir venu, il n’y a pas d’enfants et donc pas d’écoles, pas d’agitation. Rien de ce qui fait la vie normale de nos cités ! Les habitants de Sun City se sont enfermés dans cette vie...
Robert Voit, Peter Granser et Leo Fabrizio mènent une réflexion sur le paysage. Jusque-là, rien d'extraordinaire. Le paysage est l'un des thèmes majeurs de la photographie, au même titre que le portrait ou le reportage. Leur travail prend néanmoins une dimension particulière, et sans doute faut-il y voir la marque de leur génération (ils sont âgés de moins de quarante ans), dans le choi x qu'ils opèrent dans ce vaste champ du paysage.
Tous trois s'intéressent à ce qui pourrait se nommer la «marchandisation» du paysage.
Comme la plupart des biens aujourd'hui produits dans le monde, le paysage devient un objet économique susceptible d'être exporté. Pour s'en convaincre, il suffit d'observer le lent mais inéluctable phénomène de "globalisation" des centres villes qui peinent à se différenc...
Dans le cadre des 27e estivales photographiques du Trégor, Peter Granser expose à l'Imagerie de Lannion.
De 10h à 12h et de 15h à 19h sauf dimanche et jours fériés. Entrée libre.
Vernissage et rencontre le samedi 2 juillet 2005 à 18h30 à l'Imagerie.
« Je m'intéresse depuis longtemps à la manière dont les Etats-Unis influencent le monde, tant au niveau politique que dans la vie quotidienne.
Suite à un article paru dans un magazine allemand sur « Sun City » -, je me suis rendu au fin fond du désert de l'Arizonadanscette « ville du soleil », premièrecité américaine construite exclusivement pour des retraités.
Il en existe aujourd'hui 70 aux USA... et aucune en Europe.
Toute personne de moins de 55 ans en est exclue le soir venu, il n'y a pas d'enfants et donc pas d'écoles, pas d'...