Laetitia Tura #Photographe
Né en 1978, vit et travaille à Saint-Denis (93).
Laetitia Tura mène depuis 2001 un projet photographique dédié aux frontières et aux
migrations. Après la frontière du Sud-Liban (2001) et la frontière mexicano-étatsunienne
(2004-2006), elle travaille actuellement au Maroc et à Melilla sur la mise à l’écart et la
disparition des migrants ainsi que dans les Pyrénées, sur les territoires de la Retirada. Elle a
développé une démarche où le recueil de la parole fait partie intégrante du dispositif de
prise de vue.
Son travail a été exposé lors de nombreux festivals en Europe : Promenades
Photographiques de Vendôme, Festival de Cinéma de Douarnenez, Photaumnales de
Beauvais, Biennale des arts visuels de Liège, L’Évocation documentaire à Genève, Festival
Migrant’Scène à la Cartoucherie de Vincennes ; et au Mexique, au centre culturel de Tijuana
et au sein du réseau des Alliances françaises. Sa série Linewatch (Mexique-Etats-Unis) a été
remarquée à plusieurs reprises - revue Documentaire, Bourse du Talent, Le Monde 2… - et a
reçu le Premier prix du Festival Voies Off à Arles en 2006.
Elle intervient régulièrement dans le cadre d’ateliers artistiques, notamment auprès de
publics marginalisés. En 2010, elle co-anime l'atelier audiovisuel Le goût de la famille à
Montigny-le-Bretonneux (La Maréchalerie-centre d’art contemporain) ainsi que Les Héros de
la Madeleine à Evreux (L’Appart’). En 2012, elle réalise avec des jeunes travailleurs accueillis
par la FASTI Histoires en suspend ? Cette même année, elle intervient en milieu carcéral : Des
corps intérieurs, un atelier associant photographies et textes avec Hélène Crouzillat, à des
femmes détenues à la Maison d’arrêt de Versailles. Elle participe à la réalisation d’un journal
dans la Maison centrale de Poissy.
Elle rejoint le bar Floréal début 2010.
Conférence Donnons la parole aux immigrants Africains
À l'occasion du tournage du film Les Messagers de Laetitia Tura et Hélène Crouzillat, le Pavillon Carré de Baudoin accueille les photographes Laetitia Tura et Olivier Pasquiers, la réalisatrice sonore Hélène Crouzillat, le maître de conférence Nathalie Ferré, et l'un des auteurs du livre Immigration, un régime pénal d'exception, Emmanuel Blanchard - tous membres du GISTI (groupe d'information et de soutien des immigrés) - afin de débattre sur la question de l'immigration des Africains.
La photographe Laetitia Tura mène depuis 2001 un projet photographique dédié à l'immigration. Elle s'est rendue au Maroc afin d'en apprendre plus sur la disparition et le rejet...Exposition Exposition : « Un soir, j'ai assis la beauté sur mes genoux » du collectif Le Bar Floréal 30 ans d’aventures photographiques du bar Floréal sont retracés au Pavillon Carré de Baudouin du 13 mai au 27 août 2016. Cette exposition rappelle le parcours original du collectif qui dépassait le cadre strict de la photographie. Celle qu’ils conçoivent comme un chant pluriel, avec des regards partagés et critiques sur le monde, entre les eaux glacées du calcul égoïste et les vents tièdes chargés d’odeurs légères. Se posera ici
la question de la beauté et du bonheur, des rêves et des utopies ; sans oublier la suite du texte de Rimbaud : « Et je l’ai trouvée amère. Et je l’ai injuriée... ». L’exposition montre des projets photographiques ré...Exposition Exposition : « Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux... » au Pavillon Carré de Beaudouin
Après 30 ans d’aventures qui dépassaient le cadre strict de la photographie, le bar Floréal a du mettre les clefs sous la porte en 2015.
En 2016, une grande exposition rappellera ce parcours original, conçue comme un chant pluriel, avec des regards partagés, regards critiques sur le monde comme il va, souvent mal, entre les eaux glacées du calcul égoïste et les vents tièdes chargés d’odeurs légères. Se posera ici la question de la beauté et du bonheur, les rêves et les utopies (sans oublier la suite du texte de Rimbaud « ...Et je l’ai trouvée amère. Et je l’ai injuriée... »). L’exposition montrera des projets photographiques réalisés depuis la c...Exposition « Je suis pas mort, je suis là », Maroc, Espagne, Tunisie, 2007-2012 de Laetitia Tura Pour traverser les frontières, murs réels et lignes imaginaires, chacun apprend sur le tas. Un savoir caché se transmet de rencontres en rencontres.
Dans cette entreprise identifiée à une guerre, l’on devient soldat pour sa propre survie.
Aventuriers.
Abandonner provisoirement son identité, traverser le territoire à la marge des villes, se
camoufler, avec ses seuls pieds en guise d’arme et son corps pour unique rempart.
La durée, l’effort, l’incertitude : loin des regards, le mouvement des migrants est
souvent peu spectaculaire et sillonne des lieux isolés où rien ne se passe.
La frontière marocco-algérienne, fermée depuis 1994.
Voie d’entrée sur le territoire marocain et lieu de d&eac...Exposition « Les âmes grises, récits photographiques d’après-guerre » au festival Allers-Retours de la photographie contemporaine à Boulogne-Billancourt
Pour l’édition 2014 du festival ALLERS-RETOURS, le Conseil général des Hauts-de- Seine propose une programmation relative à la thématique de l’après-guerre, en présentant des œuvres photographiques portant sur les conflits armés récents et sur leurs conséquences, à l’occasion du Centenaire de l’éclatement de la Première Guerre mondiale.
Le festival se déroulera du 27 mai au 26 octobre 2014, autour de quatre expositions successives, présentant chacune les travaux de deux artistes.
Les photographes sélectionnés questionnent le processus de mise à distance de la réalité de la guerre, par une attention aux marques indélébiles laissées dans les paysages, les corps ou les mémoires. Ils abordent également la question du temps qui passe et l...Exposition Exposition de Laetitia Tura et Hélène Crouzillat à la Galerie le Carré d'Art
“Je suis pas mort, je suis là”
Pour traverser les frontières, murs réels et lignes imaginaires, on apprend sur le tas. Un savoir caché se transmet de rencontres en rencontres. Comme une initiation, on franchit les étapes une à une. Dans cette entreprise identifiée à une guerre, chacun devient soldat pour sa propre survie. Aventuriers.
Abandonner provisoirement son identité, traverser le territoire à la marge des villes, se camoufler, avec ses propres pieds comme arme et le corps pour unique rempart. La durée, l'effort, l'incertitude : loin des regards, le mouvement des migrants est souvent peu spectaculaire, dans des lieux isolés où rien ne se passe. Arrivés au front.
Oujda et ses for&ec...Exposition Exposition collective : Villes, une exposition du Bar Floréal au Pavillon Carré de Baudouin
La mairie du 20e arrondissement et le bar Floréal.photographie présentent l’exposition collective Villes,du 20 avril au 13 juillet 2012 au pavillon Carré de Baudouin. L’entrée est gratuite.
Cette exposition inédite présente le travail de 12 photographes du bar Floréal.photographie sur le thème de la « ville monde ». De Paris à Santiago du Chili, en passant par Haïti et la Mongolie, le public voyagera au pavillon Carré de Baudouin à travers près de 150 photographies.
En amont de l’exposition, l’un des photographes, Alex Jordan, transformera le jardin public du pavillon Carré de Baudouin en un studio de prises de vue en plein air. Chacun pourra alors se faire tirer le portrait, jeun...Exposition Nouvelles photographes au Bar Floréal Quatre jeunes photographes ont rejoint le bar Floréal. Quatre nouveaux regards qui viennent enrichir notre diversité.
Lucile Chombart de Lauwe, qui photographie comme elle respire, avec son envie de changer le monde et de le chanter ; Mara Mazzanti, son empathie avec ce que notre société a tendance à glisser sous le tapis ; Nathalie Mohadjer, son objectivité brûlante, sa distance critique et amoureuse ; Laetitia Tura, sa façon de s'installer dans le réel, de le creuser et d'y mettre du sens.
De nuit
Lucile Chombart de Lauwe s'intéresse aux travailleurs nocturnes. Ceux qui prennent le relais d'un métier habituellement effectué en journée. Un travail en continu. Exclus au regard des standards du travail, non du fait de leur...Exposition Exposition La Belle Voisine ARTRACTION ACCUEILLE LE BLEU DU CIEL
L’EVOCATION DOCUMENTAIRE, EXPOSITION COLLECTIVE DE PHOTOGRAPHIES
du 31 mars au 25 avril; VERNISSAGE mardi 31 mars dès 18H
L'objectif élargit sa prise de vue immortalisant l'air du temps...
Arrêtez-vous quelques instants, voyagez parmi ces photographies et laissez vaguer vos esprits au travers de cette magnifique exposition.
L’évocation documentaire est une exposition qui réunit cinq photographes : Gilles Verneret, Bertrand Stofleth, Christopher Taylor, Laetita Tura et Pierre Abensur. L’ensemble des œuvres relèvent du documentaire photographique.
Plus qu’elles ne décrivent ou retranscrivent une réalité quelconque, les œuvres exposées évoquent une absence re-convoq...Modifier l'image