Mouna Saboni
#Photographe
- Festival
Première Biennale des Photographes du Monde Arabe contemporain
La première Biennale des photographes du monde arabe contemporain est une initiative conjointe de l’Institut du monde arabe et de la Maison européenne de la photographie. Du 10 novembre 2015 au 17 janvier 2016, cette première édition développera un panorama singulier des photographes contemporains qui opèrent depuis le début des années 2000, dans - et sur - le monde arabe.
Reposant avec l’Institut du monde arabe et la Maison européenne de la photographie sur une complémentarité de compétences, l’événement se déploiera entre ces deux grandes institutions, proches mais séparées par la Seine. D’une rive à l’autre, l’IMA et la MEP constitueront les deux pôl... - Exposition
Exposition : «Exil(s) / Proche-Lointain» à la Galerie Joseph Antonin
Communiqué de presse de la Galerie Joseph Antonin :
L’exposition propose d’aborder la Méditerrannée et l'Orient sous l’angle des exils ainsi qu’au travers du prolongement poétique qu'ils condensent, pour mieux se détacher de leur contraire : les fantasmes exotiques ou anxiogènes, le malaise et le rejet qu'un contexte de peur savamment entretenu malheureusement véhicule.
Trois photographes (Mouna saboni, Lynn SK, Gilles Magnin) aux propos qui forment un dialogue intense, un échange dans l’écho et la complémentarité, épris de territoires où le désir de mémoire s'inscrit dans le désir d’altérité, la rencontre d' espaces dédi&eacu... - Exposition
Les 5 bonnes raisons d'aller voir la biennale de photo arabe
« Or le monde arabe est victime aujourd'hui de préjugés et de visions superficielles : dans ses profondeurs, il n'est pas ce que l'on montre de lui » : les mots de Jack Lang résonnent aujourd'hui plus que jamais. Le 11 novembre dernier, la première biennale des photographes du monde arabe contemporain a ouvert ses portes. L'occasion de découvrir une photographie méconnue, riche et diverse. Et si vous n'étiez pas tout à fait convaincu-e-s, voilà nos 5 bonnes raisons (de continuer) d'aller flâner dans les galeries et les musées.
1) Parce que - comme l'a à peu près dit la Compagnie Créole - l'art c'est bon pour le moral. Et en ce moment, c'est fou c... - Exposition
« Genre photographique / Photographie de genre »
L’exposition « Genre photographique / Photographie de genre » présentée sur les Berges de Seine constitue une fenêtre ouverte sur la création contemporaine, en réunissant les travaux de quatre artistes émergentes.
Elle fait écho à l’exposition consacrée aux femmes photographes de la modernité, organisée au Musée d’Orsay et au Musée de l’Orangerie*. Fruit d’une réflexion sur le manque de visibilité accordée aux femmes artistes dans l’espace public, l’exposition porte le projet de réhabiliter leur parole, ou bien plutôt leur regard, en faisant des berges parisiennes un lieu d’expression, mais aussi de rencontre avec un large public.
L&r... - Exposition
« Ceux qui arrivent », le prix 2012 des Ecoles d'Art SFR Jeunes Talents et les 30 ans de l'école nationale supérieure de la photographie d'Arles en exposition au BAL
Cet hiver, le BAL expose la jeune création.
Une nouvelle génération de photographes et de vidéastes, récemment diplômés d'une école d'art.
Grâce à un partenariat engagé depuis 2009 avec SFR Jeunes Talents et l'opportunité d'un anniversaire, les 30 ans de l'Ecole nationale supérieure de la photographie d'Arles. LE BAL porte un regard attentif et curieux sur les oeuvres naissantes de dix jeunes talents.
A l'occasion de la troisième édition du Prix des Ecoles d'art SFR Jeunes Talents / LE BAL 2011, le jury, composé de Ptatrick Le Bescont (Filigrane Editions), Nathalie Giraudeau (CPIF), Charlotte Boudon (Galerie Les filles du Calvaire), Oriane... - Exposition
Mouna Saboni, "Je voudrais voir la mer" à la galerie Annie Gabrielli
Mouna Saboni est d'origine bretonne, de mère française et de père marocain. Elle a 23 ans et termine sa troisième année à l’ENSP d’Arles.
Je voudrais voir la mer est présentée dans le cadre du festival des Boutographies, Rencontres Photographiques de Montpellier dédiées aux jeunes photographes. La série sélectionnée s’appuie sur une vision documentaire attachée au quotidien des réfugiés de Deisheh en Palestine, mêlant poésie et fiction.
« Des choses m'indignent, je ne peux pas rester sans rien faire », dit simplement Mouna Saboni. Pendant sa troisième année de fac (Rennes 2), elle part six mois en Argentine et découvre sa vocation dans un bidonville de Buenos Aires. « Nous avions créé une association avec des amis françai...
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