- Actualité
Les rencontres à la Galerie Librairie Le 29
Rencontres / signature autour de quatre livres
Nicolas Comment, Jean-Michel Fauquet, Fred Jourd, Julien Magre
Le jeudi 2 décembre à partir de 18 h
Nicolas Comment
Photographe, Auteur, Musicien
Né en 1973, vit et travaille à Paris.
Après des Etudes de cinéma et de photographie à l'Université Lyon II et à L'Ecole des Beaux-Arts de Lyon, il publie aux éditions Filigranes son premier livre de photographies en 2001 : La desserte (texte d'André S. Labarthe), suivi par Le point en 2003 et de A*** en 2004 .
Durant cette période, il développe un travail photographique tourné plus spécifiquement vers « la littérature » : notamment en collaboration avec Anne-Lise Broyer avec qui il dirige la revue "Saison" aux éditions Filigranes et publie en 2006 le livre Fading (divers expositions personnelles et col... - Livre
Mes yeux sont d'aveugles ciels - Jean-Michel Fauquet
"L'atelier de Jean-Michel Fauquet est-il celui d'un sculpteur ? S'agit-il en fait d'un cabinet de curiosités ? Des masses de carton ondulé s'y enroulent et s'y déroulent comme une vague avant de se transformer en sculptures miniatures, en objets sans usage pratique ni modèle connu, ou en chrysalides géantes suspendues au plafond. La tombe de Toutankhamon ne pouvait être plus déroutante. Chez Fauquet, la prise de vue est une phase intermédiaire de la création de l' uvre. Il maîtrise de bout en bout son univers. Les personnages, ponts, maisons, ustensiles aux destinations mystérieuses, existent d'abord virtuellement dans la matière sèche et austère du carton qu'il façonne. Le cr... - Exposition
L'Oeil du signe - Jean Michel Fauquet
Les œuvres de Jean-Michel Fauquet résultent de procédés qui font appel au dessin, à la peinture et à la sculpture, avant de donner lieu à des photographies proches de l’estampe. Il s’agit essentiellement d’un travail d’atelier, où le sujet, fabriqué à partir de matériaux pauvres, est un prétexte qui suscite chez le spectateur un récit que celui-ci élabore à partir de sa propre mémoire et de son imaginaire. Sa façon de voir la lumière et les formes est très personnelle. Ses procédés de tirage autant que l’utilisation de papiers ou de supports particuliers en font aussi un alchimiste.
Ses œuvres font l’objet d’expositions à l’étranger et en France, notamment aux Rencontre photographiques d’Arles en 2013. Jean-... - Exposition
Les Rencontres d'Arles Photographie 2013 présentent leurs expositions « Arles in Black »
Cela peut paraître un paradoxe : c’est dans un esprit de découverte que les Rencontres d’Arles proposent en 2013 un parcours radicalement noir et blanc.
Jusque dans les années 1980 la couleur est regardée avec mépris, tandis que le noir et blanc est la photographie d’art par essence.
Le lent déclin du noir et blanc débute dans les années 1990 lorsque la couleur s’installe avec son lot de progrès techniques (films et tirages argentiques) et que le marché de l’art porte un intérêt soudain à la photographie, numérotant les tirages et starifiant de jeunes photographes.
Le noir disparaît presque totalement après 2000, la couleur installant sa suprématie dans toutes les pr... - Exposition
La Galerie d'Arles expose « Miracle - Oracle »
Manon Royer est née en 1990 à Arlon, et vient d’être désignée lauréate du Festival des Rencontres Photographiques d’Art’lon. Elle pratique depuis ses 15 ans la photographie à l'école ou dans un club. Elle termine cette année des études de photographie à l'école supérieur des Arts de Saint-Luc à Liège, commencées en 2009. Elle a obtenu une bourse en novembre de la fondation Biermans- Lapôtre à Paris pour y être en résidence pendant un mois.
« Ca serait trop facile de dire : j'aime le train, le spectacle des paysages qui défilent m'enchante, ... C'est en fait, la meilleure excuse que j'ai trouvée pour parler de moi. Je cap... - Exposition
IMAGES TELLURIQUES de Jean-Michel Fauquet
L’oeuvre de Jean-michel Fauquet prend naissance dans l’espace intime de son appartement, des masses de cartons s’y enroulent et s’y déroulent comme une vague avant de se transformer en sculptures, en objets sans usages pratiques, en chrysalides géantes suspendues au plafond.Ses photographies naissent d’abord dans l’impulsion d’un trait sur des pages de carnets. « Le dessin est la genèse de tout mon travail, uneétape vitale, une nécessité absolue. Mes carnets, c’est l’espace de l’intime le plus profond. C’est la possibilité de ne pas couper avec l’atelier quand je sors le matin pour mon bureau ».
Jean–Michel Fauquet consacre de longs moments à cette phase préparat...
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Rencontres / signature autour de quatre livres
Nicolas Comment, Jean-Michel Fauquet, Fred Jourd, Julien Magre
Le jeudi 2 décembre à partir de 18 h
Nicolas Comment
Photographe, Auteur, Musicien
Né en 1973, vit et travaille à Paris.
Après des Etudes de cinéma et de photographie à l'Université Lyon II et à L'Ecole des Beaux-Arts de Lyon, il publie aux éditions Filigranes son premier livre de photographies en 2001 : La desserte (texte d'André S. Labarthe), suivi par Le point en 2003 et de A*** en 2004 .
Durant cette période, il développe un travail photographique tourné plus spécifiquement vers « la littérature » : notamment en collaboration avec Anne-Lise Broyer avec qui il dirige la revue "Saison" aux éditions Filigranes et publie en 2006 le livre Fading (divers expositions personnelles et col...
"L'atelier de Jean-Michel Fauquet est-il celui d'un sculpteur ? S'agit-il en fait d'un cabinet de curiosités ? Des masses de carton ondulé s'y enroulent et s'y déroulent comme une vague avant de se transformer en sculptures miniatures, en objets sans usage pratique ni modèle connu, ou en chrysalides géantes suspendues au plafond. La tombe de Toutankhamon ne pouvait être plus déroutante. Chez Fauquet, la prise de vue est une phase intermédiaire de la création de l' uvre. Il maîtrise de bout en bout son univers. Les personnages, ponts, maisons, ustensiles aux destinations mystérieuses, existent d'abord virtuellement dans la matière sèche et austère du carton qu'il façonne. Le cr...
Les œuvres de Jean-Michel Fauquet résultent de procédés qui font appel au dessin, à la peinture et à la sculpture, avant de donner lieu à des photographies proches de l’estampe. Il s’agit essentiellement d’un travail d’atelier, où le sujet, fabriqué à partir de matériaux pauvres, est un prétexte qui suscite chez le spectateur un récit que celui-ci élabore à partir de sa propre mémoire et de son imaginaire. Sa façon de voir la lumière et les formes est très personnelle. Ses procédés de tirage autant que l’utilisation de papiers ou de supports particuliers en font aussi un alchimiste.
Ses œuvres font l’objet d’expositions à l’étranger et en France, notamment aux Rencontre photographiques d’Arles en 2013. Jean-...
Cela peut paraître un paradoxe : c’est dans un esprit de découverte que les Rencontres d’Arles proposent en 2013 un parcours radicalement noir et blanc.
Jusque dans les années 1980 la couleur est regardée avec mépris, tandis que le noir et blanc est la photographie d’art par essence.
Le lent déclin du noir et blanc débute dans les années 1990 lorsque la couleur s’installe avec son lot de progrès techniques (films et tirages argentiques) et que le marché de l’art porte un intérêt soudain à la photographie, numérotant les tirages et starifiant de jeunes photographes.
Le noir disparaît presque totalement après 2000, la couleur installant sa suprématie dans toutes les pr...
Manon Royer est née en 1990 à Arlon, et vient d’être désignée lauréate du Festival des Rencontres Photographiques d’Art’lon. Elle pratique depuis ses 15 ans la photographie à l'école ou dans un club. Elle termine cette année des études de photographie à l'école supérieur des Arts de Saint-Luc à Liège, commencées en 2009. Elle a obtenu une bourse en novembre de la fondation Biermans- Lapôtre à Paris pour y être en résidence pendant un mois.
« Ca serait trop facile de dire : j'aime le train, le spectacle des paysages qui défilent m'enchante, ... C'est en fait, la meilleure excuse que j'ai trouvée pour parler de moi. Je cap...
L’oeuvre de Jean-michel Fauquet prend naissance dans l’espace intime de son appartement, des masses de cartons s’y enroulent et s’y déroulent comme une vague avant de se transformer en sculptures, en objets sans usages pratiques, en chrysalides géantes suspendues au plafond.Ses photographies naissent d’abord dans l’impulsion d’un trait sur des pages de carnets. « Le dessin est la genèse de tout mon travail, uneétape vitale, une nécessité absolue. Mes carnets, c’est l’espace de l’intime le plus profond. C’est la possibilité de ne pas couper avec l’atelier quand je sors le matin pour mon bureau ».
Jean–Michel Fauquet consacre de longs moments à cette phase préparat...