Francois Goffin
#Photographe
- Chronique
« Bruxelles à l’infini » : chronique d’une ville aux 29 visages
Depuis plus de quinze ans, Contretypes organise des résidences pour des photographes internationaux. Chacun d'eux, à sa manière, a réalisé un travail sur Bruxelles, à Bruxelles. Le travail de vingt-neuf de ces photographes est exposé, en ce moment, au Centre Wallonie-Bruxelles. La plupart n'étant représenté par qu'une seule de leurs œuvres. Résultat : de belles découvertes mais qui nous laissent un sentiment d'inachevé.
© Philippe HERBET (Belgique, 2003) Série Bruxelles-Europe (extrait), 2002-2003 (53X53)
En pénétrant dans l'exposition, on oublie le centre Pompidou qui lui fait face, on oublie Paris et les Parisiens. A la place, on est directement transport&... - Exposition
Exposition : « Muss es sein? Es muss sein! » de François Goffin
Communiqué de presse - Après la série «Les choses simples», François Goffin revient -dans la continuité- avec une nouvelle série «Muss es sein? Es muss sein!» dont le titre est emprunté au père Ferré. Lui même l’ayant trouvé au bas d’une partition de Beethoven.
«Il nous faut choisir entre le réel et la fiction, le pesant du corps et la légèreté de l’âme. C’est aussi en substance ce que nous raconte Kundera dans «l’insoutenable légèreté de l’être». Il nous appartient de définir une existence dans un réel choisi.
La série de photographies proposée pour l’exposition n’est... - Exposition
Exposition : "Voir venir/Venir voir" chez Contretype et au Botanique
Double exposition - au Botanique et chez Contretype - dans le cadre des 10 ans de la collection «Angles Vifs» des Éditions Yellow Now
Probablement "Voir venir" (attendre et s'attendre) et "Venir voir" (se bouger, à la rencontre d'un horizon) sont-ils les deux mamelles nourricières du regard curieux, les deux facettes réversibles de cette soif si particulière qui passe par l'œil. Depuis dix ans et à travers une vingtaine de titres à présent, la série «Angles vifs» des éditions Yellow Now* (Côté photo) défriche la partie francophone de la jeune photographie belge et propose, à des auteurs confirmés ou émergents, la publication d’une premi&egrav... - Exposition
Construire le paysage au Summer of Photography 2012
Les œuvres proposées dans cette exposition sont issues de la collection que Contretype constitue depuis 2008 consécutivement aux Résidences d’Artistes à Bruxelles.
Pour cette incursion dans nos acquisitions récentes, nous avons choisi de réunir des pièces significatives d’Elina Brotherus (Finlande, °1972), JH Engström (Suède, °1969 ), Sébastien Camboulive (France, °1972), François Goffin (Belgique, °1979) et Isabelle Hayeur (Québec, °1969), avec l’intention de placer l’artiste et le processus de création au centre de nos préoccupations.
Nous avons sciemment évincé les aspects documentaires ainsi que les questions liées &agra... - Exposition
Le travail des jeunes talents belges en itinérance entre la Chine et la Belgique
L'exposition "Depth of Field" est une vue d'ensemble des jeunes photographes les plus talentueux de Belgique actuellement. Cet évènement s'est déroulé au Musée des Arts Guangdong dans la vielle de Guangzhou, en Chine.
Et elle se déroule maintenant à Anvers, à la galerie Stieglitz19, pour après repartir en Chine afin d'être exposée au Centre d'Art Photographique des 3 Shadows de Pékin.
Elle met en avant les photographes Charlotte Lybeer, Bert Danckaert, Jimmy Kets, Arno Roncada, Lara Gasparotto, Francois Goffin.
© Lara Gasparotto , piscine
Courtesy Stieglitz19
© Arno Roncada: power plant
Courtesy Stieglitz19
Vignette et images : ... - Exposition
Depth of Field - Contemporary Belgian Photography
The exposition Depth of Field shows work by art photographers laboring at the perimeter of their field, investigating the diversity of the photographic medium as we know it. In a sense, these photographers show us how the world appears to them.
In this exposition the term Depth of Field indicates the photographer’s control over focus, over the specific elements in each work that are either in focus or are unclear, a fundamental artistic concept. Depth of Field is a challenging notion for all photographers. A basic aspect of any composition is where to focus and where to blur. A sharp focus might, like an eagle’s eye, pinpoint a vitally important subject, or it might not. This dichotomy makes the relationship between photography and reality somewhat paradoxical. Focus is the ultimate challenge for the p... - Exposition
Les Choses Simples - François Goffin
In Wallonia, François Goffin might well be considered one of the most innovative young photographers of his generation. On display is his latest series “Bevel” in black and white, and the series “Les Choses Simples”, a series from which he gained renown as well as a book, published by Yellow Now. Both collections give us a new perspective of apparently common experiences. We see fragile moments of beauty, captured as only photography can capture such images: before they fade forever.
The photographer does not seek out the spectacular or the strong image, but his work teaches us to see as though he were instructing us to speak a new language of visual imagery. We are poised on a brink between the universal and the fragmentary.
In these photographs, common experiences and objects a... - Exposition
Miroirs de l'Intime à l'Espace Contretype
p { margin-bottom: 0.21cm; }
"Miroirs de l’intime
L’exposition réunit un choix significatif de photographies extraites de 14 expositions monographiques présentées et diffusées par Contretype entre 2004 et 2011 et ayant fait l’objet d’une publication chez divers éditeurs en Communauté française.
Plus qu’une simple compilation, il s’agit dans cette exposition de mettre en lumière les liens entre des auteurs aux pratiques très différentes et d’affirmer (encore et toujours) les spécificités de la photographie d’auteur.
Le titre choisi pour cette exposition est significatif.
Si nous retenons comme définition du mot miroir «une surface servant à réfléch... - Exposition
François Goffin les choses simples
JLG: Pourquoi avoir choisi le titre «Les choses simples»?
FG: Ça vient du fait que depuis l’âge de 10-12 ans, mes parents me répètent toujours «Fais des choses simples», le côté paysan condrusien de faire les choses très simplement, et après le fait que j’adore le jazz, l’album «My Favorite Things» de Coltrane. Comme je ne connais pas un mot d’anglais, je me demandais ce que ça voulait dire parce que c’était tellement merveilleux, et je me suis dit que c’étaient mes idées favorites, et que c’était ce que je voulais faire en photo, parce que je sortais des études, je n’avais pas envie de faire du documentaire bien précis, et j’av...
Modifier l'image