Dans " Les années Combi", la photographe Françoise Saur rend un hommage buissonnier au fameux camping-car VW qui n'a cessé de se réinventer depuis 1950.
Ce fidèle compagnon de route des routards et des familles nombreuses est aussi un sujet photographique qui n'aime rien tant que se glisser en douce dans le cadre.
Qu'il s'installe dans le paysage le temps d'une pause casse-croûte, qu'il serve de refuge à la famille pendant l'orage ou serpente sur une route de montagne, le Combi, vu du dedans ou du dehors, s'invite à chaque page de ce petit road-trip familial. Comme l'écrit joliment ( Michèle Lision dans le texte qui se faufile entre les images, "les années Combi sont des années de fraternité, d'amitié, d'huile de moteur, de vis-écrou, de station-essences, de dépanneuses."
Baignée de lumière, la vie...
Livre relié
Format 23,5 x 26,5 cm à la française
120 pages
77 photographies couleurs, trame 250
Impression quadri + vernis réserve sur Gardamat 170 g
Couverture pleine toile marquée à chaud, jaquette
Prix public : 38 EUROS
Cet ouvrage est disponible en version Prestige, édition limitée à 30 exemplaires, sous coffret toilé, accompagné d’un tirage original (choix entre 4 photos) signé, daté, numéroté.
Prix public : 250 euros.
EXTRAIT
«Ils s’appellent Osmane, Zaïd, Hussein, Ishtar… On le voit dans leurs regards amis, dans leurs sourires innocents, leurs gestes mesurés, leur coquetterie d’enfant, leurs attitudes prudentes. Ils connaissent déj&agra...
PHOT’AIX en quelques mots... c’est deux manifestations : «REGARDS CROISES» & «LES PARCOURS»
Avec PHOT’AIX et Regards Croisés, la Fontaine Obscure initie un dispositif attrayant en invitant des artistes étrangers, amateurs confirmés ou professionnels, à croiser leurs regards photographiques avec des photographes français.
Avec PHOT’AIX et Les Parcours, la Fontaine Obscure invite à découvrir de nouveaux talents de la région de Provence, voire de la France entière, dans des lieux institutionnels et privés d’Aix-en-Provence.
PHOT’AIX tient une place importante dans la vie et la ville aixoise, puisque PHOT’AIX a lieu depuis plus de dix ans et que ces rencontres rassemblent plusieurs milliers d’amateurs et de passionn...
Durant toute la durée du festival, chaque soir à 18h un vernissage d'une exposition donne l'occasion au public et aux photographes de se rencontrer autour d'un verre. Une quinzaine d'expositions se dressent dans divers lieux ; la cave coopérative, des chapelles, des domaines viticoles, musée, bar, golf... Les expositions sont ouvertes pendant les 3 jours, de 10h à 18h.
Grâce à sa collaboration avec la Fondation Blachère, les nuits photographiques de Pierrevert accueille le photographe burkinabé Nyaba Leon Ouedraogo qui exposera sa série L'Enfer du Cuivre.
Pour son édition de 2013, l'équipe des nuits photographiques de Pierrevert a décid&ea...
Une rétrospective des œuvres de Françoise Saur. Une manière de parcourir la ville de Saint-Dié des Vosges en montrant des photographies dans des lieux dédiés ou non à l'exposition, en intérieurs comme en extérieurs. Une traversée temporelle avec des séries photographique anciennes, récentes et une création. Une traversée dans l'espace avec des travaux dans différents pays.
Renseignements sur les différents lieux et horaires au syndicat d'initiative de Saint Dié des Vosges quai Maréchal Leclerc tél. 03 29 42 22 22...
Du vendredi 13 janvier au dimanche 26 février prochains, La Chambre - espace d’exposition et de formation à l’image accueille le travail de Françoise Saur, première femme photographe a avoir eu le prix Niépce en 1979.
Compositions sur le marbre © Françoise Saur
Dans une monstration aux accents très personnels, Françoise Saur investit La Chambre en y présentant des images, des cartes postales issues d'archives personnelles, des échanges épistolaires retraçant la vie de sa mère. Sous des formes et des formats différents, plus d'une centaine d'images et de documents seront présentés au public de La Chambre.
Compositions sur le marbre © François...
Communiqué de presse La Filature - Pour sa deuxième participation à La Regionale (exposition trinationale d’art contemporain), La Filature réunit Catherine Larré, Brigitte Lustenberger, Candice Milon, Françoise Saur, Stéphane Spach et Anne Zimmermann autour du thème de la nature – plus précisément de ce qu’il reste de la vie lorsqu’elle est fixée par la photographie, d’une nature morte et de ses avatars.
FLUIDE © Catherine Larre
Les six artistes ont en commun de vivre parmi les objets dont ils refusent de se séparer – trésors collectés dans la nature ou chinés qui remplissent leurs ateliers : minéraux, coquillages, plumes, insectes, végétaux...
STIGMATES
Marcel Burg présente une partie de sa collection de photographies
En sentit figurat (1998) © Eduard Ibanez
Exposition du 14 au 29 mai 2016
les samedis et dimanches de 14 à 20h
Association in Extremis
27 rue Sainte Madeleine
67000 Strasbourg
Conférence le 29 mai à 15 h de Marc Ferrante sur l'art et la science.
Lecture le 29 mai à 17 h par Valérie Graftieaux.
Jeux de mains, Peau et os 11 os (2011) © Marc Ferrante
www.marcferrante.com
...
Une exposition pour retracer les voyages de Françoise Saur en Algérie. Une image reflet d’elle-même, droite et tendre à la fois, proche et soucieuse de l’humain. La lumière éclabousse ses images et les couleurs apparaissent comme un geste qui souligne les rencontres, les hasards et l’ouverture. Pour rendre l’univers de cette Algérie baignée d’ombre et de lumière, de tissus multicolores, de vie ancestrale et de modernité, Françoise Saur compose des polyptyques où s’entremêlent objets, formes, couleurs, lumières qui ponctuent chaque portrait d’un univers quotidien dans lequel elle se sent proche.
Sylvain Morand
...
Humanisme quotidien
Elles sont deux, elles nous font face, au premier plan, debout et cadrées en plan américain. Elles sont dans la cuisine, l’une aide l’autre à préparer le repas. Hormis la différence d’âge, presque rien ne les distingue. Velázquez a pris soin de mettre Marthe et sa servante au même rang, de les unir dans la communauté des gestes quotidiens.
La scène de genre (alors si commune, des Flandres jusqu’à Séville), il la propulse vers le tableau sacré par la paradoxale omniprésence de la trivialité quotidienne – qui tient ici le premier rôle, quitte à repousser l’iconographie biblique à un plan allusif. Certitude affirmée que l’hu...
"Les bâtiments anciens ont tous une âme. Ils bruissent des esprits de leurs habitants, des échos de leurs affectations successives. Ils ont accumulé traces et strates de leur histoire. Au musée Bartholdi se découvrent même quelques signes de l’époque où le sculpteur y vécut.
La poussière s’est accumulée dans les greniers. Les pièces, jadis d’habitation, ont changé de fonctions et sont devenues salles d’exposition, réserves, bureaux...
Mais il y a là de petits riens, parfois dérisoires, parfois somptueux ; des bribes ténues d’his- toires révélatrices du temps qui passe, de l’usure, des réparations et de l’entretien. Les visiteu...
Situé dans la filiation des travaux réalisés depuis une trentaine d'années, ce projet en est une évolution et un approfondissement.
La curiosité, l'empathie, la recherche de compréhension de l'universel humain et de sa diversité, en sont les moteurs.
Une constante - sans doute liée à la conviction de l'importance de l'acquis sur l'inné- en est le lien de l'homme et de son environnement. Il y a peu de gros plans. Le contexte est aussi important que la personne. Les figures sont à la fois familières et archétypales.
Les photographies peuvent appartenir au genre documentaire dans son acception moderne. De manière contradictoire, une forte charge poétique y est toujours liée.Chaque photographie vit par el...
Si la prolifération avérée du matériel photo "grand public" permet d’affirmer sa relation au monde par une conquête visuelle de plus en plus ludique et souvent machinale, force est de constater que cette inflation liée à l’immédiateté des résultats, n’est pas des plus convaincantes. Probablement, parce que plus que jamais, l’acte photographique ne saurait se réduire à l’enregistrement d’une réalité aussi brièvement perçue, sans le moindre parti pris. Rien de surprenant donc, si parallèlement à la fracture des points de vue qui ne cesse de se creuser entre simple captation photographique et remise en question créatrice, grandissent d’inconto...