Antoine Rozès
#Photographe
- Interview
Entretien avec Antoine Rozès
A l'occasion de son exposition Vanités / Frivolités à la Galerie Anoa Pamela de Monbrison, Antoine Rozès revient sur son parcours de photographe, depuis ses premiers clichés pris aux Etats-Unis dans les années 1970.
Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Après des études de philosophie et un parcours aux Beaux-Arts, j'ai été assistant pour le grand studio de photo Pin-up. Puis je suis parti aux Etats-Unis étudier à la San Francisco Art Institute où j'ai terminé mon apprentissage. En rentrant à Paris, j'ai été un des lauréats du 1er prix de la critique.
J'avais commencé aux Etats-Unis un travail artistique que j'ai continué... - Exposition
Exposition : « L'hors de moi en bois » d'Antoine Rozès
“ Clos ton œil physique afin de voir d’abord avec ton œil de l’esprit, ensuite fait monter au jour ce que tu as vu dans ta nuit ” Gaspard David Friedrich
Anne Clergue Galerie est heureuse d’inaugurer sa troisième saison par l’exposition L’Hors de moi en Bois du photographe Antoine Rozès.
La série L’Hors de moi en Bois est née en Dordogne en 2012. Ce travail est réalisé en numérique, de nuit et utilise le procédé de la chronophotographie.
Né à Perpignan en 1951, il vit et travaille à Paris depuis 1967. Il étudie la philosophie à la Sorbonne et entre à l’Ecole des Beaux Arts à Paris où il choisit la photographie. Il poursuit... - Exposition
Antoine Rozès présente ses "Vanités/Frivolités" à la galerie Anoa
« L'exposition Vanités /Frivolités est conçue comme une apologie de la vanité et de la frivolité, expressions d'une même revendication de singularité.
La vanité n'est pas vue dans son coté moralisateur, mais elle est figurée comme l'espace qu'occupe un mort, c'est à dire la trace qu'il a laissé dans l'esprit des vivant.
Pour chacun, elle est différente : gaie, rude, violente, comique…… contrairement aux vanités classiques ou la mort est représenté comme une uniformisation. La conscience de cette persistance mentale, comme il y a une persistance rétinienne, nous invite à cultiver nos différences.
L'image qui reste de no... - Exposition
Pamela de Monbrison met en valeur sept photographes internationaux
Pendant les manifestations dédiées à la photo, entre le 10 et le 13 novembre, Pamela de Monbrison lance ANOA et son tout nouveau site www.anoart.fr, et présente 7 photographes découverts à travers le monde. Les photographes viennent des Etats-Unis, du Brésil, de Chine : Elisabeth Sunday, Antoine Rozès, Jérémie Nassif, Renata Bueno Siqueira, Roger Salloch, Fabrice Lassort, Ling Fei Les photos parlent d’Afrique mais aussi du port de Biganos et de San Francisco, d’hommes et de femmes, de danse et de vanités.
" La photo c’est le fluide vital qui me permet de communiquer ". Chez Rozes, on perçoit la violence expressive des figures, son intérêt pour l’homme plutôt que pour la scène, son habileté à saisir un instant de son histoire. Il ne photographie ... - Exposition
ville anonyme : 3 approches de la ville
Dans un lieu industriel et insolite, une ancienne manufacture de métallurgie, les images d’Antoine Rozès, d’Emmanuelle Fructus et d’autres•murs seront présentées du 11 au 14 juin 2009.
Ce lieu chargé d’une histoire spécifique a fédéré ces auteurs autour de la thématique de la ville et de l’anonymat.
La ville, espace où les individus se croisent, se rencontrent et tentent d’habiter les lieux, constitue le lien de cette exposition collective où s’associent trois approches photographiques différentes.
Ici, des figures singulières traversent l’espace urbain, à l’affût, en vitesse, à l’arrêt ou bien en s’y absentant. La ville...
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A l'occasion de son exposition Vanités / Frivolités à la Galerie Anoa Pamela de Monbrison, Antoine Rozès revient sur son parcours de photographe, depuis ses premiers clichés pris aux Etats-Unis dans les années 1970.
Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Après des études de philosophie et un parcours aux Beaux-Arts, j'ai été assistant pour le grand studio de photo Pin-up. Puis je suis parti aux Etats-Unis étudier à la San Francisco Art Institute où j'ai terminé mon apprentissage. En rentrant à Paris, j'ai été un des lauréats du 1er prix de la critique.
J'avais commencé aux Etats-Unis un travail artistique que j'ai continué...
“ Clos ton œil physique afin de voir d’abord avec ton œil de l’esprit, ensuite fait monter au jour ce que tu as vu dans ta nuit ” Gaspard David Friedrich
Anne Clergue Galerie est heureuse d’inaugurer sa troisième saison par l’exposition L’Hors de moi en Bois du photographe Antoine Rozès.
La série L’Hors de moi en Bois est née en Dordogne en 2012. Ce travail est réalisé en numérique, de nuit et utilise le procédé de la chronophotographie.
Né à Perpignan en 1951, il vit et travaille à Paris depuis 1967. Il étudie la philosophie à la Sorbonne et entre à l’Ecole des Beaux Arts à Paris où il choisit la photographie. Il poursuit...
« L'exposition Vanités /Frivolités est conçue comme une apologie de la vanité et de la frivolité, expressions d'une même revendication de singularité.
La vanité n'est pas vue dans son coté moralisateur, mais elle est figurée comme l'espace qu'occupe un mort, c'est à dire la trace qu'il a laissé dans l'esprit des vivant.
Pour chacun, elle est différente : gaie, rude, violente, comique…… contrairement aux vanités classiques ou la mort est représenté comme une uniformisation. La conscience de cette persistance mentale, comme il y a une persistance rétinienne, nous invite à cultiver nos différences.
L'image qui reste de no...
Pendant les manifestations dédiées à la photo, entre le 10 et le 13 novembre, Pamela de Monbrison lance ANOA et son tout nouveau site www.anoart.fr, et présente 7 photographes découverts à travers le monde. Les photographes viennent des Etats-Unis, du Brésil, de Chine : Elisabeth Sunday, Antoine Rozès, Jérémie Nassif, Renata Bueno Siqueira, Roger Salloch, Fabrice Lassort, Ling Fei Les photos parlent d’Afrique mais aussi du port de Biganos et de San Francisco, d’hommes et de femmes, de danse et de vanités.
" La photo c’est le fluide vital qui me permet de communiquer ". Chez Rozes, on perçoit la violence expressive des figures, son intérêt pour l’homme plutôt que pour la scène, son habileté à saisir un instant de son histoire. Il ne photographie ...
Dans un lieu industriel et insolite, une ancienne manufacture de métallurgie, les images d’Antoine Rozès, d’Emmanuelle Fructus et d’autres•murs seront présentées du 11 au 14 juin 2009.
Ce lieu chargé d’une histoire spécifique a fédéré ces auteurs autour de la thématique de la ville et de l’anonymat.
La ville, espace où les individus se croisent, se rencontrent et tentent d’habiter les lieux, constitue le lien de cette exposition collective où s’associent trois approches photographiques différentes.
Ici, des figures singulières traversent l’espace urbain, à l’affût, en vitesse, à l’arrêt ou bien en s’y absentant. La ville...