© Louis Jammes
C'est en arrivant au vernissage de son exposition "Lucie, à l'Aspirateur de Narbonne, que Louis Jammes a dû avoir du mal à contenir sa colère en découvrant qu'il manquait 25 photos. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. En plus de ces 25 œuvres "oubliées", explique le journal http://www.lindependant.fr/2016/03/11/un-artiste-singulieret-louis-jammes-decida-de-recouvrir-ses-oeuvres,2168583.php", ses quatre œuvres sur les migrants n'auraient pas reçu l'autorisation d'être montrées au public. Vraie censure ou manque total de communication entre le photographe et le lieux d'exposition ? L'ambiance demeure tendue entre Jammes, l'Aspirateur et la mairie de Narbonne.
Face à ce revers, le photographe a décidé d'exprimer son mécontentement en recouvrant ses œuvres de couvertures de survies (voir http://www.lindependant.fr/2016/03/11/un-artiste-singulieret-louis-jammes-decida-de-recouvrir-ses-oeuvres,2168583.php"). C'est donc d'or que se parent la grande fresque des Dolganes et les jeunes Pygmées d'Ouganda ou encore les portraits des peintres de la Figuration Libre, Robert Combas… Après tout, l'artiste souhaite tout de même que l'exposition conserve un certain esthétisme.
Sources : http://www.lindependant.fr/2016/03/11/un-artiste-singulieret-louis-jammes-decida-de-recouvrir-ses-oeuvres,2168583.php"