Mike Bowers et son trophée éphémère. © The Guardian
Le 7 août, Mike Bowers se voyait primé du Kennedy Awards pour http://www.theguardian.com/news/ng-interactive/2015/apr/22/anzac-cove-and-gallipoli-then-and-now-interactive", qui opposait les armées britanniques et françaises aux forces ottomanes pendant la Première Guerre mondiale. Le photojournaliste du Guardian australien recevait en grande pompe le trophée gravé à son nom des mains du comité. 5 jours plus tard, un coup de téléphone lui annonçait qu'il devait le rendre et le céder à Nicholas Walker, auteur d'un photoreportage sur http://www.theguardian.com/news/ng-interactive/2015/apr/22/anzac-cove-and-gallipoli-then-and-now-interactive", ces fêtes que font les étudiants australiens à la fin des examens. Un phénomène similaire au spring break américain, pendant lequel les étudiants décompressent en se livrant à toute sorte d'excès. Fair-play, Mike Bowers a retourné la récompense avec un mot de soutien à son confrère : http://www.theguardian.com/news/ng-interactive/2015/apr/22/anzac-cove-and-gallipoli-then-and-now-interactive" Le nouveau gagnant n'aura en effet pas le droit à une cérémonie. La fondation Kennedy s'est quant à elle excusée en évoquant un problème de gravure (le nom fourni au graveur était celui de Bowers) et a justifié le délai de cinq jours par un envoi de mail à la mauvaise adresse. Mail qui avait été suivi, quelques jours plus tard de l'appel téléphonique. Un manque de respect pour Bowers, qui, il le jure, ne participera plus à cette comptétition.
Source : http://www.theguardian.com/news/ng-interactive/2015/apr/22/anzac-cove-and-gallipoli-then-and-now-interactive" & http://www.theguardian.com/news/ng-interactive/2015/apr/22/anzac-cove-and-gallipoli-then-and-now-interactive"