Mon exposition intitulée Contes photographiques : Moments éphémères en Russie éternelle, montée à partir de ma série 2007, est présentée au printemps 2009 par l'Institut canadien de Québec, ainsi que deux autres fois en automne 2009. Cette exposition très appréciée du public, a fait l'objet d'un reportage télé et d'un article.
Mes photos prises en Chine ont fait l'objet d'une exposition à la Galerie Tzara en 2010, intitulée Le printemps à Pékin : Instants d'avant et d'après.
Mes prochaines expositions auront lieu en 2011. Il s'agira de Songes parisiens et de Perte d'horizon.
Mon projet de diffusion de photographie russe contemporaine, ZERKALO, commencera en 2011 à la Libraire Saint-Jean-Baptiste. Douze photographes russes de la jeune génération y seront présentés sur écran au cours de l'année.
MOSCOGRAPHIE, époques et réalités photographiques
une exposition personnelle de Zakari Gilbert
17 août - 1er septembre 2012, L'Établi, Québec, Canada
Démarche de l'exposition
Un dialogue de treize ans avec cette mégapole a dissipé la brume opaque qui voilait mon regard d'étranger pour laisser place à une série d'impressions qui se chevauchent en moi. Les œuvres qui en ont découlé transmettent le sentiment de l'accumulation du temps et des souvenirs à travers des amalgames de repères spatio-temporels, un peu dans l'esprit d'une toile du peintre Lentoulov, qui compose en 1913 sa vision de la cathédrale emblématique de la Place Rouge, Saint-Basile...
Le printemps à Pékin : Instants d’avant et d’après (en circuit et en rappel) Site Web : www.photozak.webs.com Il y a dix ans, Zakari Gilbert a découvert sa passion, la photographie, lors de son premier voyage en Eurasie, qu’il explore en Transsibérien entre les capitales russe et chinoise. Depuis, il est retourné régulièrement en Russie avec son épouse originaire de Moscou, Ioulia Kounina, qui l’invitera à la rejoindre à Beijing au printemps 2009. Depuis 2005, il a présenté quatre expositions différentes sur la Russie à Québec, dont Conte photographique : Instants éphémères en Russie éternelle, qui a attiré l’attention des médias et a &e...
Le printemps à Pékin, c’est un indicatif spatial et temporel, bien que la majeure partie des images présentées n’aient pas été captées à Pékin, mais aussi un clin d’œil au livre que lisait le photographe lors de son séjour en Chine, L’automne à Pékin, un classique de Boris Vian. Rien dans ce roman ne justifie ce titre, mais le titre a fait qu’il a été lu à Pékin en 2009 par un voyageur qui associe maintenant cette œuvre littéraire à ses souvenirs et à des images chinoises. Du même coup, voilà que l’auteur de l’exposition, invité à présenter son exposition à la Galerie Tzara, de Québec, a l&...