- Festival
Les Photaumnales 2016 - LOVE STORIES
Pour cette 13ème édition, le festival des Photaumnales se place sous la couleur des invitations et des échanges.
Dans un monde en tension qui ne cesse de se refermer, nous avons souhaité mettre l’accent sur l’ouverture aux autres et souligner combien le regard des artistes est essentiel dans la construction de la tolérance.
Love Stories, « Histoires d’amour »
« De même que l’amour nous nourrit, nous exalte, les histoires d’amour dont rendent compte les différentes parties de LOVE STORIES sont nourrissantes et exaltantes. La photographie indexe pour l’occasion des faits amoureux multiples, de fort différentes histoires d’amour. Rien à cela d’anormal : l’amour, dit-on, déc... - Exposition
Exposition : « A Savage Mind » de fatmi mounir
Communiqué de presse - Keitelman Gallery
En cette fin d’année, la Keitelman Gallery a l’honneur d’inaugurer la seconde exposition personnelle de l’artiste mounir fatmi, dont la renommée internationale ne cesse de croître. L’exposition présente un ensemble de pièces (sculptures, photographie, dessins) qui traitent de plusieurs thèmes chers à l’artiste : la confrontation des cultures, hélas souvent placée sous le sceau de la violence, l’enjeu des langages et de la connaissance, et plus encore le rapport entre le dit savoir et la dite ignorance. Autour de ces thèmes, ce sont autant des questions qui sont formulées, que des formes qui sont matérialisées et qui concentrent en eux toutes... - Exposition
Exposition : « Love stories » au festival photographique les Photaumnales
Pour cette 13ème édition, le festival des Photaumnales - organisées par Diaphane, pôle photographique en Picardie - se place sous la couleur des invitations et des échanges.
Dans un monde en tension qui ne cesse de se refermer, nous avons souhaité mettre l’accent sur l’ouverture aux autres et souligner combien le regard des artistes est essentiel dans la construction de la tolérance.
Cette édition 2016 des Photaumnales, placée sous le signe de l’amour, se veut généreuse. De même que l’amour nous nourrit, nous exalte, les histoires d’amour dont rendent compte les différentes parties de « Love Stories » sont nourrissantes et exaltantes. La photographie indexe pour l’occasion des faits... - Exposition
« Telling time » Rencontres de Bamako, Biennale africaine de la Photographie
Les Rencontres de Bamako explorent les relations complexes et protéiformes entre les images et le Temps. S’inspirant à la fois de la riche tradition orale du Mali et des bouleversements récents de ce pays, cette nouvelle édition interroge les procédés utilisés par les artistes pour raconter leurs expériences, réelles ou imaginaires, du Temps. Par cette chronique des différentes manières dont les artistes s’emparent des liens imprévisibles et substantiels entre l’action politique, l’expérience sociale et l’expérience esthétique, Telling Time, ou « conter le temps », offre une multiplicité de perspectives permettant de mesurer le rôle de convoyeur des pratiques phot... - Exposition
Festival « Le point de fuite de l'Histoire » de l'été photographique
Le passé porte en lui un dispositif temporel à travers lequel il se réfère à la rédemption. Il existe un accord secret entre les générations passées et la génération présente Selon Walter Benjamin, le point de fuite de l’Histoire ne se trouve pas dans un passé distant, mais plutôt dans le présent. Il décrit ce point comme étant toujours l’instant présent, dans une inversion de la notion conventionnelle d’une histoire qui s’estomperait peu à peu quelque part derrière nous, comme dans un temps non existant.De nombreuses œuvres présentées cette année par l’Été photographique revisitent des événements his... - Exposition
Mounir Fatmi, Walking on the Light
Mounir Fatmi presents his new personal exhibition, Walking on the Light, at the CCC, Tours (France). The exhibition bring together a significant collection of about 15 recent works. The artist has given pride of place to the question of otherness and the exploration of language. He sets out a trail haunted by the presence of two writers: Salman Rushdie and John Howard Griffin—two men of language whose lives were marked by a deconstruction of their identities, and of those identities being re-created through the figure of the Other.
The photomontage Who is Joseph Anton (2012) leads us in the footsteps of Salman Rushdie, through the pseudonym that he used to live and write during his period of enforced clandestinity. The name Joseph Anton is a contraction of the names of two other writers, Joseph Conrad and Anton ...
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