Luis Màrquez
#Photographe
- Exposition
Ombre et lumière Photographie moderne mexicaine :
L’inauguration de cette exposition { l’Instituto Cultural de México { Paris coïncide avec la célébration du premier centenaire de la Révolution mexicaine. Ceci n’est pas un simple hasard car il existe un lien entre les 60 photographies qui constituent l’exposition et les répercussions que le conflit armé de 1910 a provoquées sur l’esprit et la créativité de certains intellectuels et artistes.
Pendant les années vingt et trente, la photographie mexicaine évolue, { l’instar d’autres arts comme la peinture, la sculpture, le théâtre, le cinéma, la musique et la littérature. Elle se renouvelle avec des figures comme Manuel et Lola Álvarez Bravo, Emilio Amero, ... - Exposition
Shadow and Light. Modern Mexican Photography: Manuel Álvarez Bravo, Agustìn Jiménez and Luis Márquez
Mucho Sol is the title of one of the few books on the work of Manuel Álvarez Bravo. The title comes from a photograph, printed on the first page, of a topless young woman enjoying the sun. She is standing, head held high in front of a large window with one half-open pane; her sensuous mouth is also half-open.
This photograph from 1988 is very different from the famous Good Reputation Asleep (1939), although they both feature a model with her eyes shut, bathed in the intense rays of the noon sun.
In a way, Manuel Álvarez Bravo was the “sun” for a generation of photographers who radically rethought their artistic work. Lola Álvarez Bravo, Emilio Amero, Raúl Estrada Discua, Arturo González Ruiseco, Agustín Jiménez, Eugenia Aurora Latapí, Luis M&aacu... - Exposition
Ombre et Lumière. Photographie moderne mexicaine : Manuel Álvarez Bravo, Agustín Jiménez et Luis Márquez
Mucho sol, ainsi s’intitule l’un des quelques livres existants consacrés à l’oeuvre de Manuel Álvarez Bravo. Le titre vient d’une photographie, imprimée sur la dernière page, d’une jeune femme prenant le soleil torse nu. Elle se tient debout, tête haute devant une grande fenêtre dont l’un des carreaux est entrouvert, tout comme la bouche sensuelle de la femme. Cette photographie de 1988 est très différente de la célèbre La bonne renommée endormie de 1939, à ceci près qu’elles ont en commun un modèle aux yeux fermés, baigné par les rayons intenses du soleil de la mi-journée.
D’une certaine manière, Manuel Álvarez Bravo fut le soleil d&...
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L’inauguration de cette exposition { l’Instituto Cultural de México { Paris coïncide avec la célébration du premier centenaire de la Révolution mexicaine. Ceci n’est pas un simple hasard car il existe un lien entre les 60 photographies qui constituent l’exposition et les répercussions que le conflit armé de 1910 a provoquées sur l’esprit et la créativité de certains intellectuels et artistes.
Pendant les années vingt et trente, la photographie mexicaine évolue, { l’instar d’autres arts comme la peinture, la sculpture, le théâtre, le cinéma, la musique et la littérature. Elle se renouvelle avec des figures comme Manuel et Lola Álvarez Bravo, Emilio Amero, ...
Mucho Sol is the title of one of the few books on the work of Manuel Álvarez Bravo. The title comes from a photograph, printed on the first page, of a topless young woman enjoying the sun. She is standing, head held high in front of a large window with one half-open pane; her sensuous mouth is also half-open.
This photograph from 1988 is very different from the famous Good Reputation Asleep (1939), although they both feature a model with her eyes shut, bathed in the intense rays of the noon sun.
In a way, Manuel Álvarez Bravo was the “sun” for a generation of photographers who radically rethought their artistic work. Lola Álvarez Bravo, Emilio Amero, Raúl Estrada Discua, Arturo González Ruiseco, Agustín Jiménez, Eugenia Aurora Latapí, Luis M&aacu...
Mucho sol, ainsi s’intitule l’un des quelques livres existants consacrés à l’oeuvre de Manuel Álvarez Bravo. Le titre vient d’une photographie, imprimée sur la dernière page, d’une jeune femme prenant le soleil torse nu. Elle se tient debout, tête haute devant une grande fenêtre dont l’un des carreaux est entrouvert, tout comme la bouche sensuelle de la femme. Cette photographie de 1988 est très différente de la célèbre La bonne renommée endormie de 1939, à ceci près qu’elles ont en commun un modèle aux yeux fermés, baigné par les rayons intenses du soleil de la mi-journée.
D’une certaine manière, Manuel Álvarez Bravo fut le soleil d&...