Galerie du Lucernaire 53, rue Notre Dame des Champs 75006 Paris France
Un carnet de voyage en noir et blanc sur fond de rues New-Yorkaises.
Poésie d’instants perdus ou gagnés, entre ombres et lumières.
New York comme vous ne l’avez peut etre jamais vu.
Nicolas Messyasz nous présente un carnet de voyage en noir et blanc sur fond de rues New-Yorkaises.
Poésie d'instants perdus ou gagnés, entre ombres et lumières.
Des sombres quartiers de Down Town à Manhattan, en passant par Coney Island, ou Brooklyn, nous nous accrochons aux ponts suspendus de la ville, aux façades parsemées de ces mythiques escaliers métalliques. New York City, c'est la ville où tout est possible, où tout peut commencer. C’est la ville la plus internationale des Etats Unis, un brassage ethnique vers lequel convergent les cultures et les artistes du monde entier.
En voyageur de passage, Nicolas Messyasz propose sa vision de la ville.
« Juste pour voir », il nous ramène un autre quotidien, un autre regard, qui vient de l'autre coté de l'Océan, loin des clichés que l'on peut se faire de New York, nous sommes bien à mi-chemin entre solitude et insolite.
Un autre voyage en soi, au travers d'un New-York comme vous ne l'avez peut être jamais vu...
NICOLAS MESSYASZ
Plasticien de formation, il oriente très vitre son travail photographique vers le photo-journalisme. Il travaille notamment sur le quotidien, ses incidences sociales, son humanité et bien sûr la ville.
Ses travaux personnels sont très souvent en noir et blanc, on y retrouvera la force, la subtilité et la poésie traditionnellement présentent dans ce type de rendu.
Il se dit voyageur, même pour changer de rue. Pour lui tout est prétexte à l’image, le sujet n’étant que le vecteur d’un discours photographique.
Il ne sort jamais sans un appareil photo, et cela se traduit par un journal photo qu’il tient depuis maintenant six ans sur son site : à chaque jour, sa photo.
Nicolas voyage « pour de vrai », parfois, et il part loin pour ramener l’âme de ses images. Il cherche les projections de perspectives, où simplement l’objet anodin qui signifie tant où nous sommes. Il aime rendre les lieux déserts et tranquilles, peut-être le sont-ils après tout ? Tout est poésie visuelle, et ça se voit.