Chroniques d'un portraitiste : Gérard Rondeau 1986-2006
Vendredi 03 Août 2012 15:13:22 par actuphoto dans Livres
Rassemblés dans un livre magnifique, un livre en mouvement, voici Paul Bowles à Tanger, Patricia Highsmith en Suisse, Nathalie Sarraute à Paris, Yves Gibeau sur le Chemin des Dames.. Une photo de Rondeau est comme une photo de Nadar : même sans signature, on sait qu'elle est de lui. C'est vraiment du grand art.
La Provence, Jérôme Garcin, 24 décembre 2006
Commandés à l'origine par le journal Le Monde, les portraits (de Rondeau) ne sont pas des instantanés mais des histoires durables, racontées à la main, en marge des images, par un être sensible et cultivé, dans un journal intime, superbement mis en page.
Lire, Tristan Savin, décembre 2006-janvier 2007
Sous l'œil de Rondeau (transfiguration de la lumière ?) ils sont tous beaux, ces poseurs, même les moins beaux. Enigmatique puissance d'un regard… Un magnifique album (mise en page, qualité des reproductions..).
Artpress, Jacques Henric, janvier 2007
Cet ouvrage du photographe Gérard Rondeau n'est pas qu'une suite brillante d'écrivains, de musiciens, d'acteurs, de cinéastes… C'est une interrogation sur ce qui fait un bon portrait et un bon portraitiste.
Le Journal du Dimanche, Marie-Laure Delorme, 10 décembre 2006
(C'est) un livre qui est vraiment magnifique
France Inter, Vincent Josse, 8 novembre 2006
Regard acéré, Gérard Rondeau excelle dans l'art exigeant du portrait. Ceux qu'il réalise depuis vingt ans se reconnaissent au premier coup d'œil. Il y a un style, un univers, une lumière, un noir et blanc Rondeau.
La Croix, Jean-Claude Raspiengeas, 29 décembre 2006
Et quel photographe, l'un des plus fins, élégants, attentifs et patients que j'ai croisés depuis que je me passionne pour la photo… J'ai passé une grande partie de la nuit avec son album sur les genoux, je l'ai repris à l'aube et je n'en suis pas vraiment sorti. Ses personnages me poursuivent. Silhouettes, regards, lumières : tout un monde.
La République des livres, Pierre Assouline, 21 novembre 2006
Un magnifique album… Ce recueil de portraits est aussi un autoportrait, et cela ajoute à notre émotion.
Le Nouvel Observateur, Jérôme Garcin, 14 décembre 2006
Il n'y a qu'à lire l'excellente préface de Philippe Dagen pour se faire une idée juste du photographe-portraitiste Gérard Rondeau : « il leur laisse le temps de s'habituer à sa présence et, s'il se peut, d'en oublier l'indiscrétion »… Des chroniques de notre temps, des énigmes humaines que Rondeau révèle sur la pointe des noirs et dans la langueur des blancs. Superbe.
Elle, 11 décembre 2006
..A cela Rondeau a ajouté ses mots qui courent –manuscrits ou typographiés- autour des photos. Rondeau décrit ses rencontres avec Paul Bowles à Tanger avec l'artiste Louise Bourgeois à New York. L'exercice est parfaitement réussi.
Le Monde, Michel Guerrin, 8 décembre 2006
C'est un grand. « Courtois, discret, impérieux et silencieux », (Rondeau) n'a pas son pareil pour saisir l'intérieur des êtres.
La Marseillaise, 13 décembre 2006
Maître du portrait, collaborateur du Monde, Gérard Rondeau propose une, remarquable sélection sur vingt ans de carrière.
Le Parisien – Aujourd'hui en France, 15 janvier 2007
Il y a des visages, des regards. Le noir et blanc leur va si bien. Dans ses photos, Gérard Rondeau ne fait pas les pieds au mur avec son objectif. Juste une présence. Ce sont des écrivains, des peintres, des acteurs. On s'arrête à chaque page.
Madame Figaro, Eric Neuhoff, 21 octobre 2006
Incroyable galerie
Sud-Ouest, 17 décembre 2006
On connaît tous Gérard Rondeau.. C'est le photographe des intellectuels et des artistes. Dans ce livre,..il raconte ses rencontres, donnant plus d'humanité encore à ces visages qui sont comme sidérés par l'objectif et la vérité que le photographe veut y saisir.
Les Echos, 12 décembre 2006
Chroniques d'un portraitiste, extraordinaire pêle-mêle en noir et blanc qui témoigne de son artmber les masques. Résultat : une galerie de portraits précieux, bien plus proche du journal intime que du simple album de clichés chics sur papier glacé.
L'Express, Delphine Peras, 14 décembre 2006
Gérard Rondeau saisit remarquablement la fascination exercée par l'image sur nos contemporains.
Le Journal du médecin, Nathalie Degand, 13 octobre 2006
Rédigé et présenté comme une chronique, ce livre est fait d'images et de commentaires privés de l'auteur. Superbe !
Chasseurs d'Images, novembre-décembre 2006
Ce très beau livre montre comment ce portraitiste parvient à saisir, dans l'instant, l'âme de ses modèles…(Rondeau) est devenu dans son art l'égal d'un grand peintre.
L'Union, Fabrice Littamé, 15 décembre 2006
« Ce livre repose sur une accumulation de plaisirs, sur un désir de collection » écrit Gérard Rondeau, en préambule de son superbe ouvrage.. A chaque page, on y croise une âme d'artiste.
Le Figaro, 2 novembre 2006
Ses portraits posés, imprégnés de lumière, révèlent le souci de l'intime et de l'intériorité.
Photo, novembre 2006
On retrouve ici les portraits de Derrida pour Le Monde, Berling au Festival d'Avignon, Vargas Llosa, Lichtenstein à New York ou Tapiès à Barcelone…. Des photos qui se lisent comme un journal intime.
Le Point, 30 novembre 2006
On en apprécie la maquette mêlant des photos de différents formats, des reproductions de pages du Monde et des extraits de planches-contact. Une vraie réussite.
Réponses-Photo, décembre 2006
Le charme de ce livre dominé par le noir et blanc réside aussi dans sa mise en page, où l'artiste légende ses photos de sa main, les accompagne d'anecdotes, comme un second instantané de ces portraits d'une sidérante beauté.
Metro, 13 novembre 2006
L'occasion d'admirer des photos de nombreux artistes, de Roy Lichtenstein à Carla Bruni, en passant par Jim Jarmusch ou Pierre Soulages. Les écrivains et intellectuels sont aussi à l'honneur avec des portraits de Florence Delay, Jacques Derrida, Nathalie Sarraute, George Steiner, François Weyergans.. Un très beau livre.
Le Magazine Littéraire, janvier 2007
(Radios, TV, non encore répertoriés)
Relié: 223 pages
Editeur : Seuil (1 octobre 2006)
Collection : COE.CNDP
Langue : Français