Six artistes, français et suisses, et des « œuvres-matière », presque palpables, très sensitives. Associées au temps de l’exposition, elles nous plongent dans de drôles de contes. De chevaux sautant de la falaise, de chevaux bariolés. De cavaliers courageux, de bords de mer intérieurs, de nuit noire ou noir d’encre. Des contes du sommeil absent, du sommeil debout, de cette ombre où même une collection de lampes abîmées peinent à nous guider. Accepter l’obscurité et se mettre en position d’écoute.