Intérieur / Extérieur © Zacharie Gaudrillot-Roy
Il faut remonter aux origines du cinéma, et même avant ça à l’intérêt de décomposer le mouvement, dans l’histoire de la peinture, puis de la photographie, pour comprendre comment l’image fixe est par essence, un moment minimal de l’expérience du temps ; le cinéma et la photographie sont fondamentalement liés, l’image fixe étant une composante fondamentale de l’illusion du mouvement, mais pendant longtemps l’inverse n’était pas vrai, la photographie étant un objet indépendant qui pouvait se suffire, une image seule qui pouvait transporter tout un monde... mais depuis quelques années, de par son utilisation par des plasticiens, dans des installations, par des réflexions sur le support même de l’image, son mode de diffusion, diaporama, gif animés etc, on voit comment ses transformations et interpénétrations, en partie représentatives de l’impact du numérique, atténuent les frontières entre photo et cinéma . L’exposition D’apparences propose d’interroger notre relation à l’image, en créant un dialogue entre différents supports de la lumière, qu’elle soit capturée ou projetée.
Il faut remonter aux origines du cinéma, et même avant ça à l’intérêt de décomposer le mouvement, dans l’histoire de la peinture, puis de la photographie, pour comprendre comment l’image fixe est par essence, un moment minimal de l’expérience du temps ; le cinéma et la photographie sont fondamentalement liés, l’image fixe étant une composante fondamentale de l’illusion du mouvement, mais pendant longtemps l’inverse n’était pas vrai, la photographie étant un objet indépendant qui pouvait se suffire, une image seule qui pouvait transporter tout un monde... mais depuis quelques années, de par son utilisation par des plasticiens, dans des installations, par des réflexions sur le support même de l’image, son mode de diffusion, diaporama, gif animés etc, on voit comment ses transformations et interpénétrations, en partie représentatives de l’impact du numérique, atténuent les frontières entre photo et cinéma . L’exposition D’apparences propose d’interroger notre relation à l’image, en créant un dialogue entre différents supports de la lumière, qu’elle soit capturée ou projetée.
© Melania Avanzato
Diptyques interprétant le regard de l'autre, bloqué dans un environnement ou une situation hors de contrôle, traduisant un sentiment de déréalisation - sensation d’être étranger à son propre environnement -. Il nous propose un monde fait d'images, comme un vaste décor, un monde fait d'histoires suggérées et de personnes anonymes.