© Eolo Perfido - Mea culpa, Clownville
© Eolo Perfido - Bon voyage, Clownville
Aidé au maquillage par Valeria Orlando, le photographe réalise des images inquiétantes, lubriques, qui captent le regard. Perfido reconnaît être inspiré par le cinéma muet des Chaplin, Keaton, Linder et le langage du corps qui en découle. Dans le muet, les acteurs surjouent les réactions du corps pour exprimer un état d'esprit, un sentiment, une émotion.
© Eolo Perfido - Grock 1, Clownville
Dépravé, triste, menaçant, provocant, maniaque, déséquilibré, humain... sont les qualificatifs ces photographies. La même folie s'exprime dans le film espagnol http://eoloperfido.com/" d'Alex de la Iglesia. Le personnage du clown est détourné en être machiavélique guidé par une folie destructrice.
© Eolo Perfido - Screamer, Clownville
"L'innocence s'est perdue dans Clownville" affirme Eolo Perfido qui, par ce jeu malsain, nous met en face de nos peurs et de nos instincts primitifs.
© Eolo Perfido - Rocker, Clownville
© Eolo Perfido - Mein clown, Clownville
Source : http://eoloperfido.com/"