© Sean Hawkey
© Sean Hawkey
Et le résultat est surprenant. Des portraits profonds et touchants d'hommes marqués par les années de travail difficile. Une réalité d'autant plus soulignée par le temps d'exposition important. En effet, difficile de prendre une pose artificielle durant 15 secondes.
© Sean Hawkey
Ce projet permet aujourd'hui au photographe de promouvoir l'achat de bijoux issus du développement durable, notamment les bagues de fiançailles « Le mariage est un sacrement et vous ne voulez pas commencer cette union en utilisant une bague produite par des personnes travaillant dans des conditions d'esclavage et d'exploitation. Vous voulez qu'il soit produit par des gens qui ont une chance dans leur vie ».
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* La technique du collodion humide, inventée en 1851 par Frederick Scott Archer, photographe britannique, produit un négatif sur verre qui, posé sur un fond noir, devient un positif appelé ambrotype. Elle consiste en une épaisse émulsion liquide appliquée sur une plaque de verre, qui est ensuite plongée dans un bain de nitrate d’argent, puis transférée dans un châssis étanche à la lumière. Les prises de vue se font à la chambre photographique. La photographie au collodion humide exige des manipulations chimiques (pour la préparation de la plaque de verre, le développement, la fixation de l’image…), le transport d’une chambre noire portative (le délai entre la prise de vue et le développement est très court), une rigueur et un soin extrêmes. Mais elle permet d’obtenir une finesse de grain, une précision et une subtilité dans les tons qui a fait son succès jusque dans les années 1880, date de l’apparition des plaques à gélatine sèche. (http://www.hawkey.co.uk/#!/index">)