• Expositions
  • Photographes
  • Concours photo
  • Interviews
  • Chroniques
  • À propos
  • Nous contacter
  • Sitemap
  • Menu
  • Les lus
  • Publier


« Là où vivent les êtres sauvages », une exposition bestiale

Mercredi 03 Avril 2013 14:29:22 par actuphoto dans Expositions

© Charles Freger, Cerbul din Corlata Romania
Expositions du 4/5/2013 au 26/5/2013 Terminé

Fotokino 33 Allées Gambetta 13001 Marseille France

Charles Fréger, Muriel Moreau, Karine Rougier, "Là où vivent les êtres sauvages"


De mars à décembre 2013, Fotokino accueille dans son Studio un cycle de dix expositions. Troisième volet de cette programmation exceptionnelle qui prend part au programme de Marseille-Provence 2013, avec une exposition collective rassemblant trois artistes autour de la question du sauvage.
Là où vivent les êtres sauvages rassemble le travail de trois artistes au langage visuel très différent mais réunis par une sensibilité commune pour la question de l’étrangeté. Cette exposition mettra en regard photographies, dessins, gravures, objets, films et nous fera rentrer sur un territoire étrange et sauvage.

 

© Charles Freger, caretos lazarim portugal


Charles Fréger

Photographe depuis une douzaine d’années, il constitue un formidable inventaire photographique sur la question des uniformes. Sportifs, militaires, ouvriers, les hommes et les femmes sont considérés à travers leur tenue, leur seconde peau. Récemment, il a réalisé une incroyable quête des tenues folkloriques que revêtent chaque année
des hommes, dans toute l’Europe, de la Finlande à la Sardaigne en passant par la Grèce et l’Allemagne, le temps d’une mascarade multiséculaire. En devenant ours, chèvre, cerf ou sanglier, homme de paille, diable ou monstre aux mâchoires d’acier, ils célèbrent le cycle de la vie et des saisons, et entrent littéralement dans la peau du « sauvage ».

 

Muriel Moreau

Elle est, en premier lieu, graveuse. Sa maîtrise si particulière de l’eau-forte mêle les formes végétales et organiques, dans une symbiose qui nous évoque les mots de Leonard de Vinci : « Le corps de la terre est sillonné d’un réseau de veines, toutes jointes ensemble. » Ses gravures sont autant une évocation du corps qu’une cartographie improbable d’un territoire primitif. Elle décline ses recherches dans des films quasi-burlesques où les frontières entre l’humain, l’animal et la nature s’effacent définitivement. Elle s’y grime dans des vêtements de peu, coiffée de masques que l’on aurait du mal à attribuer avec certitude à une forme animale ou végétale.

 

© Muriel Moreau, etre sauvage

 

Karine Rougier

Ces frontières sont tout aussi floues dans le travail de Karine Rougier. Ses dessins proches de la miniature entremêlent des univers indécis où l’étrange côtoie la douceur, l’inquiétude côtoie le rêve. Attirés par tel ou tel détail, les scènes qu’ils mettent sous nos yeux nous plongent constamment dans de nouvelles perceptions, nous insufflent de nouveaux sentiments, nous interrogent. La question du masque, en tant que visage cachant un visage, est évidemment présente dans son travail, comme un motif de l’enfance, un accessoire de rituels occultes, mais aussi comme une métaphore de ses propres dessins, sans cesse en train de nous raconter des histoires.


Quatre Regards sur la Photographie de Mode
Emmaüs, une communauté. Photographies de Ludovic Bourgeois.
11e saison photographique de la Sarthe
exposition de photographies
Jan Gulfoss - Last Works
Les dérivées de Johann Van Aerden
« AMOUR, UNE ODYSSÉE SIBÉRIENNE » de Claudine Doury
Exposition Égéries de Pierre Cardin

© Actuphoto.com Actualité photographique

Vendredi 16 mai 2025 - 210 connectés - Suivez-nous

  • Photographes
  • Photographers
  • Fotografos
  • Fotografi
  • Fotografen
  • Peintres
  • Artistes
  • Architectes
  • Acteurs
  • Chanteurs
  • Modeles


Top