© Alessio Romenzi
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
© Alessio Romenzi
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
© Alessio Romenzi
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Photos et vignettes © Alessio Romenzi
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
Le prix Lucas Dolega récompense les photo-journalistes qui exercent leur métier dans des zones difficiles et témoignent d'un travail engagé pour la liberté d'expression.
Paris, le vendredi 18 janvier 2013 - Le Prix Lucas Dolega, soutenu par Nikon, est attribué au photo-reporter Alessio Romenzi. Le prix lui a été remis ce jour lors d'une cérémonie à la Mairie de Paris, en présence de Bertrand Delanoë, des représentants de l'association Lucas Dolega et de nombreux photographes professionnels.
En tant que partenaire, Nikon a le plaisir de récompenser Alessio Romenzi pour son reportage « surviving Syria » par une dotation d'une valeur de 10 000 € comprenant un appareil photo reflex Nikon D800, une optique et un chèque de 6 800€.
Alessio Romenzi est photographe depuis 2005. Il a travaillé pour l'AFP, l'ONU, la Croix Rouge et est représenté par l'agence CORBIS. Ses photos ont été publiées dans de nombreux journaux comme le New York Times, le Washington Post, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et bien d'autres. Son travail sur la Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois, fait partie d'une étude plus vaste sur les révolutions du « printemps arabe ».
Le Prix photographique international Lucas Dolega est organisé par l'association Lucas Dolega pour rendre hommage à ce photoreporter franco-allemand de 32 ans décédé le 17 janvier 2011 à Tunis alors qu'il couvrait la « Révolution du Jasmin ».
Le prix est destiné à soutenir les photographes qui exercent leur activité dans des conditions souvent difficiles et sur des zones pouvant comporter des risques pour assurer la diffusion d'une information libre et indépendante. Il récompense un photographe qui par son engagement personnel, son implication sur le terrain, ses prises de position et la qualité de son travail, témoigne de son attachement à la liberté d'expression. Les participants devaient présenter un reportage photographique traitant d'une situation de conflit (guerres civiles ou militaires, émeutes, attentats ou manifestations publiques), d'une catastrophe naturelle ou sanitaire, et de leurs conséquences pour les populations civiles.
