La ville de Martigues propose du 28 mai au 16 septembre un regard sur le Cambodge de la période Sihanouk de 1958 à 1960, à travers les photographies de Micheline Dullin, ainsi qu’un rappel de de l’horreur des années Khmers rouges grâce aux films de Rithy Panh.
Micheline Dullin photographe, donne à voir le Cambodge des années 1958- 1964 sous un jour délibérément positif. Reporter officielle du Prince Sihanouk, elle a voyagé à travers le Cambodge. Ses clichés témoignent d’une époque heureuse et de grands chantiers en construction. Parallèlement, il y a ce que l’on pourrait nommer les « images quotidiennes» qui rendent compte d’une rencontre avec un pays et ses habitants, à travers le regard d’une artiste touchée par la grâce d’un instant, d’un regard, d’une lumière...
Elle souhaite aujourd’hui partager ses émotions et ses passions avec un large public avec lequel pourra s’engager un dialogue singulier et intime.
Au moment où les procès des hauts dirigeants khmers rouges ont lieu à Phnom Penh et rappellent au monde entier l’horreur des années 1975-1979, ces manifestations culturelles sur l’histoire du Cambodge nous font partager un autre regard sur l’histoire de ce pays. Les documents photographiques de la période des 1950 à 1960 sont une denrée rare, détruits pour la plupart, pendant la période des Khmers rouges. Dans ce contexte, la découverte de ces images relèvent presque du miracle.
Les années 1950-1960 sont, comme le souligne James Burnet journaliste et ancien collaborateur du Monde, «une des clés de compréhension du drame khmer Rouge», ce qui motive l’invitation de Rithy Panh à Martigues dont les films témoignent d’un seul objectif : reconstruire une mémoire cambodgienne profondément détruite et émiettée.
Micheline Dullin photographe, donne à voir le Cambodge des années 1958- 1964 sous un jour délibérément positif. Reporter officielle du Prince Sihanouk, elle a voyagé à travers le Cambodge. Ses clichés témoignent d’une époque heureuse et de grands chantiers en construction. Parallèlement, il y a ce que l’on pourrait nommer les « images quotidiennes» qui rendent compte d’une rencontre avec un pays et ses habitants, à travers le regard d’une artiste touchée par la grâce d’un instant, d’un regard, d’une lumière...
Elle souhaite aujourd’hui partager ses émotions et ses passions avec un large public avec lequel pourra s’engager un dialogue singulier et intime.
Au moment où les procès des hauts dirigeants khmers rouges ont lieu à Phnom Penh et rappellent au monde entier l’horreur des années 1975-1979, ces manifestations culturelles sur l’histoire du Cambodge nous font partager un autre regard sur l’histoire de ce pays. Les documents photographiques de la période des 1950 à 1960 sont une denrée rare, détruits pour la plupart, pendant la période des Khmers rouges. Dans ce contexte, la découverte de ces images relèvent presque du miracle.
Les années 1950-1960 sont, comme le souligne James Burnet journaliste et ancien collaborateur du Monde, «une des clés de compréhension du drame khmer Rouge», ce qui motive l’invitation de Rithy Panh à Martigues dont les films témoignent d’un seul objectif : reconstruire une mémoire cambodgienne profondément détruite et émiettée.