Tatiana Plotnikova
#Photographe
- Actualité
Nos 10 coups de coeur de Photoquai 2015
Photoquai 2015 commence aujourd'hui. L'occasion de découvrir des photographes du monde entier, mais pas que. Photoquai, c'est aussi le plaisir de découvrir des thématiques originales, bien loin des stéréotypes habituels, souvent réducteurs et misérabilistes dès lors qu'il s'agit d'évoquer l'Afrique ou encore le Moyen-Orient. Photoquai, c'est le bonheur retrouvé, celui de faire face à des clichés grands formats (qui changent des cartes postales et autres timbres poste très en vogue dans les expositions du moment) ! Photoquai enfin, c'est une parité presque parfaite, doublée d'une gratuité totale. Filez donc découvrir ces hommes et ces femmes de talent, exposé... - Carte-Blanche
Tatiana Plotnikova : Alcohol Abuse / 'Delirium Tremens'
The Balashov Narcological Clinic at the Saratov region is one of many clinics scattered all over the county. Its name is well known, but not many people are aware of what is inside. I hardly believe there is a single person among those I've photographed who would admit that he or she has experienced the same pleasure in drinking now as when they tasted alcohol for the first time. The impression of lightness, which alcohol gives in the beginning is a deadly trap ; the feeling of freedom is false. Insensibly true values are vanishing being sacrified to the booze. The alcohol awareness is neglected. Everyone thinks that the biggest misfortune falls on others and not on you.
There are different reasons why certain people become addicted to alcohol. Some people drink because they are lost or want to escape the re... - Exposition
Jeune Photographie Russe - Anya Maysuk, Tatiana Plotnikova, Alexandra Demenkova
« Il s’agit de trois jeunes photographes russes qui ont entre 20 et 35 ans. L’Europe voit en elles l’espoir d’un souffle nouveau pour la photographie tandis qu’elles découvrent en de puissantes images le désespoir indicible d’un peuple. Leur point commun est d’avoir travaillé de près avec Sergey Maximishin et d’avoir par son intermédiaire côtoyé le musée imaginaire qui hante les gens de Magnum. Certains de leurs regards font comme des clins d’yeux aux icônes de la F.S.A., aux scènes de rue de William Klein, aux traversées d’asile de Raymond Depardon et à quelques autres encore, mais la commune méthode qui singularise ces photographes, c’est le rapport de proximit...
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