Sandrine Derym #Photographe
Sandrine Derym, 34 ans, vit et travaille à Paris, elle fait partie du collectif de photographes : La Petite Société. Sandrine Derym compte à son actif nombre d'expositions en solo ou en tant que membre de La Petite Société :
Exposition Mois de la Photo-OFF 2012 : La Galerie Satellite présente une exposition collective sur le thème « Fotodroid, nouvelles images du littoral » Exposition Carte blanche à Yannick Vigouroux et son collectif Fotopovera à la Galerie le Lieu Exposition Les dissonances de l'adolescence Exposition Les Dissonances de l'Adolescence. La transition, le mouvement, le passage : une autre définition de la photographie - Immixgalerie Modifier l'image
" « Homo photographicus »
Un véritable comportement visuel, c’est bien de cela qu’il s’agit lorsque l’on regarde les photographies exposées à la galerie Satellite.
Je dis très souvent, lors d’ateliers ou conférences, que voir, ce n’est pas regarder. Regarder c’est voir mieux avec l’outil photographique que l’on utilise. Ici, c’est le plus souvent un téléphone portable, programmé sur une application, Polaroïd, Diana ou autre…
L’Homo Photographicus serait-il né ?... "
(Jean-Michel Verdan)
Photographes exposés : Ons Abid, Sandrine Derym, Karine Maussière, Catherine Merdy, Jean-Michel Verdan, ...
Les Pratiques archaïsantes dans la photographie contemporaine, du sténopé au téléphone mobile.
Les techniques employées relèvent de la Foto Povera :
- Les sténopés, les photomatons
- Les appareils rudimentaires en plastique, jetables...
- Les techniques d’enregistrement du réel ne relevant pas d’un appareil photo (téléphone portable, webcam, photocopie), scanner…
Qu'est-ce qu'une pratique « pauvre en photographie » ? Qu'est-ce que la FOTO POVERA » ?... J'ai écrit en 2005 avec Jean-Marie Baldner un livre intitulé Les pratiques pauvres, du sténopé au téléphone mobile. Simultanément, j'ai créé un collectif d...
L’adolescence est ce moment singulier auquel nous sommes confrontés à notre propre image, et où nous avons soudain le pouvoir d’agir sur elle, que ce soit pour la modifier, la construire ou s’en défaire. Or, aujourd’hui, cette image de l’adolescence est en train d’évoluer, de se fragmenter au cours d’un phénomène sans précédent : en 2009, on recensait près de 24 millions de blogs adolescents francophones sur le web. C’est pourquoi cette exposition propose deux travaux qui sont une sorte de relecture/réappropriation de cette esthétique des blogs, et deux approches plus classiques.
Entre naturel, indécision et mise en scène, 4 regards sur l’adolescence, vue de l’ext&...
L’adolescence est ce moment singulier auquel nous sommes confrontés à notre propre image, et où nous avons soudain le pouvoir d’agir sur elle, que ce soit pour la modifier, la construire ou s’en défaire. Or, aujourd’hui, cette image de l’adolescence est en train d’évoluer, de se fragmenter au cours d’un phénomène sans précédent : en 2009, on recensait près de 24 millions de blogs adolescents francophones sur le web. C’est pourquoi cette exposition propose deux travaux qui sont une sorte de relecture/réappropriation de cette esthétique des blogs, et deux approches plus classiques.
Entre naturel, indécision et mise en scène, 4 regards sur l’adolescence, vue de l’ex...