 Depuis plus de quinze ans, Contretypes organise des résidences pour des photographes internationaux. Chacun d'eux, à sa manière, a réalisé un travail sur Bruxelles, à Bruxelles. Le travail de vingt-neuf de ces photographes est exposé, en ce moment, au Centre Wallonie-Bruxelles. La plupart n'étant représenté par qu'une seule de leurs œuvres. Résultat : de belles découvertes mais qui nous laissent un sentiment d'inachevé.
	
	© Philippe HERBET (Belgique, 2003) Série Bruxelles-Europe (extrait), 2002-2003 (53X53)
En pénétrant dans l'exposition, on oublie le centre Pompidou qui lui fait face, on oublie Paris et les Parisiens. A la place, on est directement transport&...
Depuis plus de quinze ans, Contretypes organise des résidences pour des photographes internationaux. Chacun d'eux, à sa manière, a réalisé un travail sur Bruxelles, à Bruxelles. Le travail de vingt-neuf de ces photographes est exposé, en ce moment, au Centre Wallonie-Bruxelles. La plupart n'étant représenté par qu'une seule de leurs œuvres. Résultat : de belles découvertes mais qui nous laissent un sentiment d'inachevé.
	
	© Philippe HERBET (Belgique, 2003) Série Bruxelles-Europe (extrait), 2002-2003 (53X53)
En pénétrant dans l'exposition, on oublie le centre Pompidou qui lui fait face, on oublie Paris et les Parisiens. A la place, on est directement transport&... "PAR TERRE" de RUI CALCADA BASTOS
	"Par Terre" est le dernier travail réalisé par Rui Calçada Bastos. Pendant sa Résidence d'artiste à Bruxelles en 2011, il a assidûment fréquenté le marché aux puces de la Place du Jeu de Balle. Ce travail, qui comprend photographies et vidéos, montre le bric-à-brac et autres débris caractéristiques de ce lieu. Images et restes divers - un verre brisé, un rapport économique ou un mouchoir taché de sang - sont présentés comme les décombres de cette place, par terre.
	 
	Par ailleurs, une vidéo dépeint les chiffonniers locaux et leurs déambulations au milieu du "capharnaüm des déche...
	"PAR TERRE" de RUI CALCADA BASTOS
	"Par Terre" est le dernier travail réalisé par Rui Calçada Bastos. Pendant sa Résidence d'artiste à Bruxelles en 2011, il a assidûment fréquenté le marché aux puces de la Place du Jeu de Balle. Ce travail, qui comprend photographies et vidéos, montre le bric-à-brac et autres débris caractéristiques de ce lieu. Images et restes divers - un verre brisé, un rapport économique ou un mouchoir taché de sang - sont présentés comme les décombres de cette place, par terre.
	 
	Par ailleurs, une vidéo dépeint les chiffonniers locaux et leurs déambulations au milieu du "capharnaüm des déche...