Marcelo Brodsky est un photographe argentin dont le travail porte sur l'héritage de la dictature. Au cours de son exil à Barcelone dans les années 80, il est formé à la photographie au Centre International de la Photographie par le photographe catalan Manuel Esclusa. En 1997, il publie et expose pour la première fois l'essai photographie Buena Memoria (Good Memory) basé sur les effets du terrorisme. Entre 1997 et 2007, l'exposition a été présentée plus de 120 fois dans 26 pays.
En 2000, Brodsky expose à Buenos Aires. En 2001, il publie Nexo (Nexus), un autre essai photographique en référence à la mémoire collective. En 2002, il réalise une installation avec des fragments de blocs de granite qui était une partie de la façade du bâtiment de l'AMIA (Association mutuelle israëlite argentine).
En 2005, il publie Mémoire en Construction qui rassemble des textes d'artistes et d'auteurs argentins concernant le débat sur la transformation de l'ESMA (l'école d'aviation) en Musée de la Mémoire.
Brodsky est membre de l'organisation Buena Memoria Human Rights.
Pour cette troisième édition, le festival se développera autour du thème 'l'archive photographique'.
La photographie a longtemps été considérée uniquement comme un support visuel ayant pour utilité première la reproduction. Les expositions présentées auront toutes un lien avec l'archive, que ce soit la constitution d'archives photographiques ou la manipulation de celles-ci.
Concernant la grande exposition au Centre de la Photographie Genève, plusieurs sujets y seront abordés : l'Allemagne pendant la guerre jusqu'à l'après-guerre, un focus sur le Proche-Moyen Orient à travers des photographies de Susan Meiselas, Rosangela Renno ou encore Marcelo Brodsky. Vous pourrez également retrouver des ...
Geographically, its map traces a region constituted by more than twenty countries extending from Mexico to the confines of Tierra del Fuego, each with its histories, cultures, ethnicities and languages. This diversity manifests itself not only between individual countries, but also within each country itself and although some share a history marked by political and social upheaval, it is misleading to speak of a 'Latin American' entity.
To understand the extraordinary development in the Latin American art scene over the last three decades we must take into consideration the complexities of a multidimensional society shaped by a mosaic of individual histories. We cannot over-simplify and homogenise another reality 1 and in this context, curator and art critic Gerardo Mosquera reflects that, Latin American art h...