Julien Malabry est né en France en 1980, il vit et travaille à Lyon.
Depuis l’âge de 25 ans, il dédie sa vie professionnelle – et privée – à la photographie. Parfait autodidacte, il s’est nourri des nombreux voyages qui ont animés une partie de sa vie militaire.
Si la passion prolongeait ses regards en image, la technique, elle, floutait le message. C'est en préparant un CAP de photographie en candidat libre que Julien trouvait le chemin de la vision vers l’émotion.
Julien travaille désormais sur les éléments graphiques des paysages urbains et ruraux du monde. Véritable lieu d’expression des sociétés, ces modélisations architecturales décrivent voire dénoncent les idéologies sous-jacentes de l’intelligentsia moderne...
par Olivier Borneuf
Communiqué de Presse -
CINQ JEUNES PHOTOGRAPHES SÉLECTIONNÉS
Le volet étudiant évolue en 2017 pour devenir le Tremplin Planche(s) Contact, ouvert à tous les jeunes quel que soit leur parcours. Cinq jeunes photographes ont été sélectionnés parmi une centaine de candidats : Betty Bogaert, Julien Malabry, Nyima Marin, Yoann Olawinski et Felicia Simion pour mettre en correspondance leur univers photographique et l’une des multiples facettes de l’identité de Deauville. Ils seront en résidence à Deauville dans les prochains jours. Les créations qu’ils vont réaliser seront exposées à Deauville, lors de la huitième édition du Festival Planche(s) Contact, du samedi 21 octobre...
PERIPHERIE
« Ils avaient vu partir tout un peuple d’artisans, d’employés de petits commerçants (...). Ils s’étaient accrochés, mais ils avaient du disparaître, chassés par la rénovation, la hausse des loyers, la vente des appartements, les modestes, les vieux, les jeunes couples et donc des enfants. Pour où ? Pour la périphérie (...) Où était passée la vie ? En banlieue. Le « tout autour » ne pouvait donc être un terrain vague, mais un terrain plein : plein de monde et de vie. »
François Maspero, les passagers du Roissy-Express.
« D’habitude, je travaille à l’étranger : Djerba, Berlin, Pristina, mais en cette fin d’année 2013 j’ai eu envie de m’intéresser à Lyon, ma ville d’adoption.
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A l'occasion de la fête des lumières, l'Abat-Jour présentera une projection de plusieurs séries photographiques sur le thème de l'errance.
La projection sera visible de l'extérieur du vendredi 6 au lundi 9 décembre à partir de 18h.
© Benjamin Lorieau
La galerie ouvrira ses portes pour l'occasion les vendredi 6 et dimanche 8 décembre.
© Guillaume Decreux
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