Jean-marie Francius
#Photographe
- Exposition
Polaroid Gladys, sacha lang, patricia canino, sabrina biancuzzi, dominique souse, clotilde noblet, jean-marie francius
Depuis 60 ans, les Polaroid font partie de la vie de la plupart des familles : photos prises sans formalité dans le plaisir de l’instant partagé, au cadrage approximatif et surtout à la lumière saturée, délavée si caractéristique. L’odeur, la chaleur des couleurs et le cadre blanc des Polaroid les rendent reconnaissables entre toutes. Sans compter qu’elles sont par définition uniques. Depuis leur lancement en 1948, elles ont suscité un engouement qui a traversé les tendances et les générations. Mais les années Polaroid sont terminées ; les amateurs s’arrachent donc les dernières boîtes de pellicule avant leur disparition définitive en 2009 au plus tard.
On ignore assez so... - Exposition
Jean-marie Francius - Discrètes Apparences
Anges, ou de dos, les femmes et leurs corps ont inspiré la nouvelle exposition de Jean-Marie Francius.
Son approche esthétique, sobre et élégante, doit autant à la tradition classique du portrait qu'à la photographie de mode. De ces images à la sensualité discrète se dégage une atmosphère poétique propice à l'imagination.
Dans la première série, Jean-Marie Francius nous invite à découvrir des anges, féminins, dénudés et confiants.
Parés d'ailes gravées sur le négatif, dessinées à l'acide sur les tirages, ou scotchées à même le dos, ces nus sont frontaux ou pudiques. Seule la distance importe, elle est nécessaire et justifiée. Sans elle pas d'abandon… Le petit format des tirages renforce l'intimité de cet univers sans repère, sans densité, entre attentes oniriques et mensonges consent...
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Depuis 60 ans, les Polaroid font partie de la vie de la plupart des familles : photos prises sans formalité dans le plaisir de l’instant partagé, au cadrage approximatif et surtout à la lumière saturée, délavée si caractéristique. L’odeur, la chaleur des couleurs et le cadre blanc des Polaroid les rendent reconnaissables entre toutes. Sans compter qu’elles sont par définition uniques. Depuis leur lancement en 1948, elles ont suscité un engouement qui a traversé les tendances et les générations. Mais les années Polaroid sont terminées ; les amateurs s’arrachent donc les dernières boîtes de pellicule avant leur disparition définitive en 2009 au plus tard.
On ignore assez so...
Anges, ou de dos, les femmes et leurs corps ont inspiré la nouvelle exposition de Jean-Marie Francius.
Son approche esthétique, sobre et élégante, doit autant à la tradition classique du portrait qu'à la photographie de mode. De ces images à la sensualité discrète se dégage une atmosphère poétique propice à l'imagination.
Dans la première série, Jean-Marie Francius nous invite à découvrir des anges, féminins, dénudés et confiants.
Parés d'ailes gravées sur le négatif, dessinées à l'acide sur les tirages, ou scotchées à même le dos, ces nus sont frontaux ou pudiques. Seule la distance importe, elle est nécessaire et justifiée. Sans elle pas d'abandon… Le petit format des tirages renforce l'intimité de cet univers sans repère, sans densité, entre attentes oniriques et mensonges consent...