Jacques Pugin
#Photographe
- Festival
Festival PHOTOfolies
"Lux et volupté… ou le plaisir évident de la lumière.
Pour le faiseur d’images, comme pour le spectateur, ce plaisir, c’est d’abord celui de toute création à laquelle la lumière contribue comme principe originel, élément génétique, et matière vivante et mouvante à la fois : parce qu’elle fait sortir de l’invisible, parce qu’elle fait advenir, la lumière est l’objet d’une fascination qui peut se décliner dans autant de réactions – de la sidération passive à l’éblouissement assumé, de l’interrogation inquiète à l’exploration curieuse. La lumière pourrait être comme cette argile pr... - Exposition
Exposition : « Sans limite. Photographies de montagne »
Communiqué de presse - L'exposition « Sans limite. Photographies de montagne » la première du genre, part du constat que la photographie a inventé le paysage de montagne en le révélant aux yeux du monde. La photographie est héritière d'une certaine idée de la montagne et du sublime, intimement liée au romantisme. Jusqu'au XIXe siècle, la montagne était considérée comme "le territoire de Dieu", lieu maudit et fantasmé, où nul ne pouvait se rendre. Les pionniers de la photographie ont permis de découvrir les sommets jamais atteints auparavant et de transformer la montagne en paysages.
Massif du Mont-Blanc alpinisme,vers 1960-1970 © Roland Gay-Couttet
L'... - Exposition
Exposition : « Neiges »
La quatrième exposition choisie par Esther Woerdehoff pour La Belle Juliette présente plusieurs photographes de la galerie, aux approches et aux parcours différents.
Autour du thème de la neige, les paysages en couleurs et en noir et blanc de ces photographes classiques ou contemporains s’offrent en contraste avec l’atmosphère chaleureuse du bar de l’hôtel.... - Exposition
Exposition : « Séance de rattrapage Paris Photo 2015 » à la Galerie Esther Woerdehoff
Lors de l'ouverture exceptionnelle de la Galerie Esther Woerdehoff ce week-end, nous avons le plaisir d'être accompagnés par certains de nos artistes qui vous accueilleront pour parler de leur travail.
© Jacques Pugin, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
Le samedi 28 novembre :
de 13h à 14h : Maia Flore
de 14h à 15h : Thierry Cohen
de 15h à 16h : Jacques Pugin
de 16h à 18h : Michael von Graffenried
© Marc Sommer, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
Le dimanche 29 novembre
de 11h à 13h : visite guidée de l'exposition Laurence Demaison & Marc Sommer et de l'accrochage "Paris Photo 2015"
© Maia Flore, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
Consultez et partagez notre page ... - Exposition
Exposition : The Knights of the Devil & Sacred Site by Jacques Pugin
Les cavaliers du diable
Comment photographier la guerre ? Certainement pas en répétant les images de cadavres, affirme celui qui a décidé de s’approprier et de retraiter les vues satellite des villages brûlés au Darfour — au moins 300 000 morts entre 2003 et 2006 — et pose la question de façon radicale. Débarrassées de leurs couleurs, transposées en négatif noir et blanc les captations de Google Earth deviennent des graphismes.
©Jacques Pugin
On n’y trouvera certes pas d’informations, mais, incontestablement, de la forme. (...) L’information ne saurait provenir de l’image elle-même, qu’elle ait été réalisée dans la tradition photographique ou qu&rs... - Exposition
Exposition : Les cavaliers du diable et sacred site
La Galerie Esther Woerdehoff est heureuse de présenter les séries Les cavaliers du diable et Sacred Site du photographe Jacques Pugin. L’exposition est composée de deux parties, deux points de vue sur un même thème : l’Afrique. Tout d’abord un travail en noir et blanc sur les vestiges de la guerre et ensuite des photographies lumineuses en couleurs des traces d’une culture ancestrale mais vivante.
Né en 1954, Jacques Pugin devient photographe en 1972, contre l’avis de son père, et part pour Zürich. En 1977, il présente sa première exposition à la Galerie 38, une galerie pionnière de la photographie en Suisse, dirigée par Suzanne Abelin. Il ouvre son atelier à Genève en 1978, voyage en Gr&... - Exposition
Expositions : les cavaliers du diable et sacred site
La Galerie Esther Woerdehoff est heureuse de présenter les séries Les cavaliers du diable et Sacred Site du photographe Jacques Pugin. L’exposition est composée de deux parties, deux points de vue sur un même thème, l’Afrique : tout d’abord un travail en noir et blanc sur les vestiges de la guerre, et ensuite des photographies lumineuses en couleurs des traces d’une culture ancestrale mais vivante.
Les cavaliers du diable
Comment photographier la guerre ? Certainement pas en répétant les images de cadavres, affirme celui qui a décidé de s’approprier et de retraiter les vues satellite des villages brûlés au Darfour — au moins 300 000 morts entre 2003 et 2006 — et pose la question de façon radicale. Débarrassées de leurs couleurs, transposées e... - Exposition
Jacques Pugin - D'ombre et de lumière
The Swiss photographer Jacques Pugin searches for sites in the world which express the complex relations that humans have with nature, sites which retain both something of the mystery of their origins and a sense of disquiet as to their future. Influenced by diverse cultures, sciences and religions, Pugin is drawn towards the sea, deserts and mountains, regions where violence, hostility and primitive beauty have tested man's bodies and souls. The images are then manipulated by computer to subtly enhance certain aspects. The exhibition features recent work, the latest of a thirty-year career.
Exposition dans les sous-sols du Musée de l'Elysée
Le photographe suisse Jacques Pugin cherche dans le monde des lieux qui expriment le rapport complexe que l'homme entretient avec la nature. Modelé par les...
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"Lux et volupté… ou le plaisir évident de la lumière.
Pour le faiseur d’images, comme pour le spectateur, ce plaisir, c’est d’abord celui de toute création à laquelle la lumière contribue comme principe originel, élément génétique, et matière vivante et mouvante à la fois : parce qu’elle fait sortir de l’invisible, parce qu’elle fait advenir, la lumière est l’objet d’une fascination qui peut se décliner dans autant de réactions – de la sidération passive à l’éblouissement assumé, de l’interrogation inquiète à l’exploration curieuse. La lumière pourrait être comme cette argile pr...
Communiqué de presse - L'exposition « Sans limite. Photographies de montagne » la première du genre, part du constat que la photographie a inventé le paysage de montagne en le révélant aux yeux du monde. La photographie est héritière d'une certaine idée de la montagne et du sublime, intimement liée au romantisme. Jusqu'au XIXe siècle, la montagne était considérée comme "le territoire de Dieu", lieu maudit et fantasmé, où nul ne pouvait se rendre. Les pionniers de la photographie ont permis de découvrir les sommets jamais atteints auparavant et de transformer la montagne en paysages.
Massif du Mont-Blanc alpinisme,vers 1960-1970 © Roland Gay-Couttet
L'...
La quatrième exposition choisie par Esther Woerdehoff pour La Belle Juliette présente plusieurs photographes de la galerie, aux approches et aux parcours différents.
Autour du thème de la neige, les paysages en couleurs et en noir et blanc de ces photographes classiques ou contemporains s’offrent en contraste avec l’atmosphère chaleureuse du bar de l’hôtel....
Lors de l'ouverture exceptionnelle de la Galerie Esther Woerdehoff ce week-end, nous avons le plaisir d'être accompagnés par certains de nos artistes qui vous accueilleront pour parler de leur travail.
© Jacques Pugin, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
Le samedi 28 novembre :
de 13h à 14h : Maia Flore
de 14h à 15h : Thierry Cohen
de 15h à 16h : Jacques Pugin
de 16h à 18h : Michael von Graffenried
© Marc Sommer, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
Le dimanche 29 novembre
de 11h à 13h : visite guidée de l'exposition Laurence Demaison & Marc Sommer et de l'accrochage "Paris Photo 2015"
© Maia Flore, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
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Les cavaliers du diable
Comment photographier la guerre ? Certainement pas en répétant les images de cadavres, affirme celui qui a décidé de s’approprier et de retraiter les vues satellite des villages brûlés au Darfour — au moins 300 000 morts entre 2003 et 2006 — et pose la question de façon radicale. Débarrassées de leurs couleurs, transposées en négatif noir et blanc les captations de Google Earth deviennent des graphismes.
©Jacques Pugin
On n’y trouvera certes pas d’informations, mais, incontestablement, de la forme. (...) L’information ne saurait provenir de l’image elle-même, qu’elle ait été réalisée dans la tradition photographique ou qu&rs...
La Galerie Esther Woerdehoff est heureuse de présenter les séries Les cavaliers du diable et Sacred Site du photographe Jacques Pugin. L’exposition est composée de deux parties, deux points de vue sur un même thème : l’Afrique. Tout d’abord un travail en noir et blanc sur les vestiges de la guerre et ensuite des photographies lumineuses en couleurs des traces d’une culture ancestrale mais vivante.
Né en 1954, Jacques Pugin devient photographe en 1972, contre l’avis de son père, et part pour Zürich. En 1977, il présente sa première exposition à la Galerie 38, une galerie pionnière de la photographie en Suisse, dirigée par Suzanne Abelin. Il ouvre son atelier à Genève en 1978, voyage en Gr&...
La Galerie Esther Woerdehoff est heureuse de présenter les séries Les cavaliers du diable et Sacred Site du photographe Jacques Pugin. L’exposition est composée de deux parties, deux points de vue sur un même thème, l’Afrique : tout d’abord un travail en noir et blanc sur les vestiges de la guerre, et ensuite des photographies lumineuses en couleurs des traces d’une culture ancestrale mais vivante.
Les cavaliers du diable
Comment photographier la guerre ? Certainement pas en répétant les images de cadavres, affirme celui qui a décidé de s’approprier et de retraiter les vues satellite des villages brûlés au Darfour — au moins 300 000 morts entre 2003 et 2006 — et pose la question de façon radicale. Débarrassées de leurs couleurs, transposées e...
The Swiss photographer Jacques Pugin searches for sites in the world which express the complex relations that humans have with nature, sites which retain both something of the mystery of their origins and a sense of disquiet as to their future. Influenced by diverse cultures, sciences and religions, Pugin is drawn towards the sea, deserts and mountains, regions where violence, hostility and primitive beauty have tested man's bodies and souls. The images are then manipulated by computer to subtly enhance certain aspects. The exhibition features recent work, the latest of a thirty-year career.
Exposition dans les sous-sols du Musée de l'Elysée
Le photographe suisse Jacques Pugin cherche dans le monde des lieux qui expriment le rapport complexe que l'homme entretient avec la nature. Modelé par les...