Hamid Blad #Photographe
"Photographe autodidacte", Hamid Blad a débuté son parcours artistique par la
photographie argentique. Le grains et le rendu des procédés alternatifs lui ont
tout de suite plus. Depuis une dizaine d’années il ne pratique que de la "slow
photo", ce qui ne veut pas dire que le photographe reste inactif à la prise de
vue.
Même si elles sont réalisées avec des procédés anciens, ses images s'inscrivent dans la création contemporaine, le décalage constituant une part essentielle de sa vision.
Il a récemment ouvert un studio dédié au collodion.
Hamid Blad vit et travaille à Paris.
Exposition Exposition Barbie-Blad par Hamid Blad à la boutique IDEA pour le mois de la photo OFF Les Barbies sont de véritables représentant de la beauté. Ce ne sont que de splendides visages de mannequins en plastique. Elles sont artificielles brillantes et lisses, presque sans chair. Quand je photographie ces poupées , je veux quelles reprennent vie. J’essaye de les humaniser, de leurs donner un vrai visage avec ses imperfections . Le travail est fondé sur un protocole précis, développé sur un mode sériel. Pour obtenir une telle transformation de mes sujets, j’utilise la photographie au Collodion. Le but est d’être à la frontière de la surréalité, par la richesse du detail et du flou de l’optique.
© Hamid Blad
© Hamid Blad
...Exposition « S », petites oeuvres photographiques : une exposition collective à la Galerie Imagineo
« Small is beautiful ! »… Un adage auquel la galerie Imagineo et l'agence révélateur souscrivent en consacrant l'exposition «S» aux petits formats.
© Hamid Blad
En réunissant plus d'une vingtaine de photographes aux univers et aux expressions les plus variés, « S » invite à se rapprocher au plus près du tirage, de sa matière, en créant ainsi un lien intime avec l'oeuvre.
Tirages argentiques, Fine Art, polaroids, procédés alternatifs ou anciens (cyanotypes, collodions, palladiums etc.), cet accrochage pré-estival regroupe aussi des photographes aux univers affirmés, dont les recherches profondes ou plus légères, questionnen...Exposition «Corps hommes parcelles», trois photographes revisitent le corps masculin
Dans « Masculin/Masculin », le Musée d’Orsay proposait l’année dernière, de manière assez inédite, un parcours dans l’histoire de l’art autour du corps de l’homme. Un panorama riche, mais assez classique, sage ont dit certains.
Le corps masculin est aussi au cœur de l’œuvre de Robert Mapplethorpe, dont la rétrospective que lui consacre actuellement le Grand Palais attire de nombreux visiteurs. Coïncidence ou questionnement libéré de l’image masculine ?
Force est de constater que l’institutionnalisation induite par ces grandes expositions lisse la réception des travaux des artistes exposés.
Les aspérités, l’animalité et l’érotism...Exposition Le Centre Iris pour la photographie presente «... sur Marne »: Hamid Blad, William Gaye, Cédric Moimem
A l’occasion de son exposition « Jardins de lumière » (présentée au Centre Iris pour la Photographie jusqu’au 15 septembre 2013), Jacques Cousin a dirigé un stage de perfectionnement et d’expression consacré au collodion humide.
Durant cinq semaines, au cœur de l’été, il a encadré et conseillé trois photographes : Hamid Blad, William Gaye et Cédric Moimem.
Perfectionnement technique et maîtrise du procédé ont été abordés dans un premier temps.
Puis, à l’instar de son approche documentaire sur le Printemps arabe en Tunisie, Jacques Cousin a proposé aux photographes de faire sortir cette technique ancienne d’une démarche purement esthétique, souvent liée au portrait, ou d’une approche patrimoniale historiqu...Modifier l'image