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Expositions : Rockabilly 82 à Paris et à Arles
«Les packs sont vides, plus de « Kro », le V 8 de la Simca Versailles ronronne comme une américaine, on se tasse dans les voitures et on va tous détaler... Mon Nikon F imprime les Tri X... Pendant trois mois, je vais suivre Marco, Raynald, Michel, Eric, Boumé, Lionel, Titi, Denis, Alan, Jimmy, Laurent, Bouboule et les autres, dans leur chambre, avec leurs parents, au salon de coiffure Tuffier, au boulot, chez King Bee, le disquaire, sur le parking où ils réparent leur Aronde, leur Chambord... Au bar Le Liberty, les soirées “danse” au Ranch Jularedo, la bande où les potes sont plus importants qu’une gonzesse»... «Ces photos racontent des histoires, sorties pour la première fois de mes classeurs, apr&egra... - Exposition
Exposition : « England 70'-80' » de Gil Rigoulet
« Dans les années 1970-80, l’Angleterre c’était la traversée de la Manche. A l’époque, pas de tunnel. Les ferries étaient souvent bondés, j’avais 20 ans. La Grande-Bretagne m’attirait comme une planète lointaine. La rue en était la vitrine et j’y plongeais mon appareil photo sans complexe. Les photos, je les prenais pour moi. Ces images sont restées dans mes classeurs durant 30 ans mais elles sont fondatrices de mon travail de photo reporter. Elles ont permis de me former l’oeil, de poser ma photographie, de dialoguer avec humour et compassion sur la vie du monde et de percevoir où nous mènent ces sociétés dans leurs rituels...»
© Gil Rigoulet
Gil R... - Exposition
Exposition « Tomber des nus » au Loft Photo
Exposition collective avec Gil Rigoulet, Philippe Bréson, Georges Saillard, Guilhem Senges, Ana Tornel, Isabelle Levistre, Clotilde Noblet, François Delebecque, Fabrice Malzieu, Miguel Vidal.
Le Loft Photo expose jusqu’au 14 mai 2016 des photographes contemporains réunis autour de la question du nu. On pourrait croire avoir déjà tout vu, ou presque, sur la capture photographique du corps nu, mais les artistes présentés ici nous livrent une vision onirique, hors du temps, et tout à fait originale de ce poncif du monde de l’art. Tous se rejoignent sur l’utilisation du noir et blanc, dotant les corps d’une sculpturalité toute particulière – ceux-ci se transforment en objets de contemplation, voire de sensation tant les eff... - Exposition
Exposition : « Molitor 1985 - Molitor 2015 » de Gil Rigoulet
Gil Rigoulet débute sa carrière dans la presse en 1975 et devient dès le début des années 80 le premier photographe attitré journal Le Monde avec lequel il collabore pendant plus de 20 ans. En 1985, il réalise avec Henru Cartier-Bresson un supplément du Monde, Portrait d’un quotidien, pour les première « portes ouvertes » du journal.
© Gil Rigoulet
En 1986, Robert Doisneau présente les photos de Gil dans un portfolio de la revue Photo-Magazine et Christian Cajole l’invite à l’Exposition collective et au livre « Vivre en maillot de bain » à la piscine Deligny, avec Joseph Koudelka, Marc Ribaud, Claude Nori, William Klein, Helmut Newton, Jean-Loup Sieff, Jacques-... - Exposition
Exposition : « Little Big Galerie se met au nu »
On pourrait croire avoir déjà tout vu, ou presque, sur la capture photographique du corps nu, mais les artistes présentés ici nous livrent une vision onirique, hors du temps, et tout à fait originale de ce poncif du monde de l’art. Tous se rejoignent sur l’utilisation du noir et blanc, dotant les corps d’une sculpturalité toute particulière ceux-ci se transforment en objets de contemplation, voire de sensation tant les effets de matière sont recherchés. Mais chaque artiste travaille selon des procédés techniques différents (Héliogravure, polaroid, sténopé, argentique ou numérique) créant des univers parallèles qu’on est invité à explorer.
Gilles Rigoulet expo... - Exposition
Mois de la Photo 2012-OFF: Gilles Rigoulet et son «Polaroid 665» à la Galerie Verdeau
Reporter pour Geo ou le Sunday Times, Gilles Rigoulet collabore avec Cartier Bresson pour le Monde. Son travail est également soutenue et remarqué par Robert Doisneau. S' éloignant de ses pères, il s 'intéresse très tôt au Polaroid 665 en transgressant le genre et se jouant des contraintes techniques, et des recommandations du fabriquant. Il détourne le procédé, le support s' altère, laissant apparaître non pas ce qui a été mais ce qui demeure: nos souvenirs, nos instants rêvés, nos chimères intimes. Lors du Mois de la Photo-OFF, la Galerie Verdeau dévoilera la richesse de son travail.
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