Chrystèle Lerisse #Photographe
Chrystèle Lerisse est née en 1960, vit et travaille à Saint-Gilles-les-Forêts, Haute-Vienne. Elle entre en photographie en 1975 et, depuis, poursuit un travail noir et blanc que l'on peut qualifier de radical.
Festival Mois de la Photo 2012 : exposition de la galerie Baudoin Lebon
Chrystèle Lerisse “small is grandiose”
La galerie Baudoin Lebon présente les travaux récents de Chrystèle Lerisse : les deux séries Vocha III Aubrac, 2010 et Trappes dans le sept huit, 2011. Small is Beautiful Petit format. C’est le vocabulaire depuis toujours de Chrystèle Lerisse. De là à préciser, c’est petit donc beau, ce n’est pas une certitude, quoique... Autre caractéristique : l’impression de flou c’est une certitude. Et le noir et le blanc une permanence. Le format 6 x 6 est l’alibi pour représenter abstraction, figuration, autour du paysage.
Le choix du sujet devient secondaire ; la force de la géométrie et celle des contrastes primordiale.
« Les lieux sont retournés, déterritorialisés. L’épaisseur préten...Exposition Exposition de Valérie Gondran, Chrystèle Lerisse, Catherine Rebois à la galerie HorsChamp Pour sa 50e exposition, la galerie HorsChamp réunit les œuvres de trois femmes : Chrystèle Lerisse, Catherine Rebois et Valérie Gondran, trois photographes qui explorent dans leur travail artistique la thématique de l'intime, poursuivie en 2015 dans la programmation de la galerie HorsChamp.
Lieu de repli, de résistance, indicible, invisible, l'intime est révélateur de notre propre conscience et permet à chacun une autonomie face à l'œuvre. La photographie parle de soi et des autres : elle est autoportrait, franc, ou délicat. L'intime se dissout dans le commun comme la construction d'une identité assumée. Petits formats, favorisant naturellement la proximité du spectateur avec le sujet et une intru...Exposition La Galerie HorsChamp présente l'exposition « Vacha » de Chrystèle Lerisse
Les photographies de Chrystèle Lerisse sont de petites fenêtres en noir et blanc ; tout en contrastes - appuyés, frappants, mordants - elles nous dévoilent chaque fois une vision du paysage à la fois complexe et minimaliste.
Un paysage pictural.
Ici, la vache se fait paysage, peinte au milieu du décor. Elle n’en fait pas simplement partie, elle s’immisce, se fond ou se détache, s’impose dans toute sa sauvagerie.
Dans chaque image, la vache est là, quelque part entre le ciel et la terre. Elle est l’horizon.
Elle luit, elle menace, elle observe, crâne, se met à nu, se déforme. Ses courbes, ses cornes, chacune de ses vertèbres se font monts et vallées. Son pelage, son cuir deviennent...Exposition Exposition collective « Fonds et Collection » à la Galerie Hors Champ
Six ans de galerie, d'artistes, de rencontres et de photographies, condensés, résumés le temps d'une seule exposition, "Fonds et Collection"…
L'occasion non seulement de revoir les travaux d'artistes que vous avez eu le plaisir de découvrir les mois et les années précédents, mais également de vous laisser surprendre par des travaux inédits, des compléments de série jamais exposés.
Plus qu'un tour d'horizon, la galerie HorsChamp ouvre ses portes et ses tiroirs, et offre à la vue des instants photographiques exclusifs, de nouvelles émotions en représentant les œuvres de huit photographes qui ont marqué les murs de la galerie : Chrystèle L...Exposition Le Prix de Photographie Marc Ladreit de Lacharrière - Académie des beaux-arts 2012 est décerné à Katharine Cooper
Le mardi 30 octobre 2012, Marc Ladreit de Lacharrière a proclamé Katharine Cooper lauréate du Prix de Photographie Marc Ladreit de Lacharrière de l'Académie des beaux-arts 2012, pour son projet "Les Blancs Africains".
Pour cette sixième édition du Prix, le jury qui s'est réuni en septembre a selectionné neuf finalistes : Dmytro Afanasenko, Nolwenn Brod, Katharine Cooper, Frédéric Delangle, Thierry Girard, Grégoire Korganow, Chrystèle Lerisse, Lucie et Simon, Christhoper Taylor.
Près de vingt ans après la fin de l'apartheid en Afrique du Sud, les blancs africains restent un peuple ignoré. Le projet photographique de Katharine Cooper est de mettre en lumière cette minorit&e...Exposition Le bestiaire imaginaire L'animal dans la photographie de 1850 à nos jours Le Bestiaire imaginaire
Cette exposition réunit plus d’une centaine de photographies d’animaux réels ou imaginaires prises par des photographes majeurs du XIXe siècle et des artistes contemporains qui se retrouvent autour d’une pensée commune : la place de l’animal dans la photographie. L’animal est une figure trés présente dans la pensée, il symbolise nos croyances, illustre nos contes et légendes, peuple notre imaginaire. Véritable énigme, il exerce une fascination, inspire les artistes et devient l’acteur de ses représentations dès les débuts de l’invention de la photographie.
L’animal est au départ photographié comme un sujet d’étude, en effet ...Exposition Chrystèle Lerisse à l'Oeil en Seyne
Intérieur - Extérieur
Chrystèle Lerisse « capte à la surface de l'air une matérialité visuelle rendant compte de l'éther c'est-à-dire du ciel poétique, l'enveloppe de l'atmosphère à l'Antiquité ». Son travail, tout contre celui de James Nachtwey sur la pollution, tout contre les ciels lumineux de Patrick Tourneboeuf est une invitation au courage pour celui qui regarde.
Le courage de « trouver ce qu'il y a derrière le visible ». Tant par le format qui impose un questionnement sur la signification classique du cadrage, que par son traitement du noir et blanc souvent évanescent, Chrystèle Lerisse nous oblige à dépasser toute lecture conformiste ou convenue du regard. Pour mieux traverser l'opacité apparente de la réalité, volontairement traitée comme une appréhension floue du réel...Exposition Chrystèle Lerisse
Des plaines sombres, des champs enneigés, le toit d'un abri, des vaches en pâture, les cimes des arbres, le dessin naturel d'une route… composent les photographies de Chrystèle Lerisse. Loin du chahut des villes, l'artiste s'inspire de son environnement proche. En quête d'un point de fuite, d'une percée ou d'une ligne d'horizon dans le paysage, Chrystèle Lerisse travaille par série, en petits formats, selon les lieux et les saisons.
Le format est volontairement et rigoureusement réduit à l'échelle du film, sans recadrage. Le visiteur est alors invité à rentrer dans l'image afin d'y voir les infinis détails qui composent avec précision chaque paysage. Chrystèle Lerisse propose une autre perception de l'infiniment grand. Dans la série « Terra Alta », chaque vue est construite avec une infime ...Modifier l'image