Photographe/plasticien Formation en esthétique et philosophie de l'art à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Créatif en agence de publicité. Passe à la photographie après plusieurs années de peinture (expos à Paris, Bruges, Le Mans, Médaille d'Argent de la Ville de Paris). Expositions/installations photographiques à Paris : les images pauvres (à Glaz'art), les images d'origine (Bibliothèque Château d'Eau), à Lyon : les images recyclées et à Saumur : très nature (land art). Pédagogue, il enseigne la photographie et anime des ateliers de création. Au sein du trio d'artistes l'Agence Recherchemadeleine, il travaille les formes à la jonction de l'image et de la mémoire (esthétique relationnelle /photo / webart / video). Leur dernière exposition, l'espace ascensionnel est intervenue dans la mairie du Xème, pendant les rencontres photographiques 2007.
La rencontre de l'image photographique et du texte peut-elle créer une sorte de troisième forme ? Une narration intermédiaire qui entrelace les mots et le visuel, créant plus qu'un jeu d'allers-retours. Sept artistes explorent des démarches différentes autour de ce thème.
© HUGO D.A. PASSERELLO LUNA : « Fichiers corrompus »
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Du 8 novembre au 23 décembre 2012, Foto Povera est à l'honneur à la médiathèque Marguerite Duras sous l'égide du photographe, critique d'art et historien d'art Yannick Vigouroux. Au programme, des expositions, des rencontres et des projections autour de ces pratiques alternatives de la photographie qui donnent la part belle à la créativité et l'expérimentation.
A MINIMA rassemble les travaux de Yannick Vigouroux ainsi que ses invités, et se poursuit dans l'espace image et son de la médiathèque avec l'exposition des travaux des six lauréats de l'appel à la participation sélectionnés sur concours par Yannick Vigouroux, le critique Christian Gattinoni, et un jury compo...
Découvrir ce que l’on sait déjà, voilà ce que propose l’étrange « collection du quotidien » de Laetitia Brun. Ses guides établissent une méthode à suivre pour accomplir les actes les plus anodins et routiniers ; ce que l’artiste appelle la « chose banale ». Se laver, se brosser les dents, se coucher. Des rites disséqués avec une minutie quasi scientifique. En jouant sur un rapport obsessionnel à ce qui l’entoure, Laetitia Brun pousse jusqu’à l’absurde les manies d’une société qui procède à une entreprise de rationalisation systématique : nommer une chose pour mieux la maîtriser.
Nulle définition chez Marion Roux. Textes et ...