Adrienne Arth
#Photographe
- Exposition
Exposition : « Transfiguring » à la Galerie Éphémère du Mans
Communiqué de presse :
L’EXPOSITION
Transfiguring est le mouvement de photographie plasticienne, créé fin 2014, qui souhaite promouvoir un regard différent sur la photographie.
Réunis au Mans pour la première fois, les artistes fondateurs et leurs invités présenteront une centaine d’œuvres aux techniques et inspirations multiples. Une photographie non consumériste, non stéréotypée, non documentaire... Hors des conventions.
LE MOUVEMENT
Le mouvement Transfiguring a été fondé à Paris le 5 décembre 2014, par 7 photographes plasticiens : Adrienne Arth, Olivier de Cayron, Georges Dumas, Marie-Laure Mallet-Melchior, Françoise Peslherbe, Isabelle Seilern et VAM. Son b... - Exposition
ADRIENNE ARTH - Photographie
"Dans votre travail, la fragmentation, la métamorphose, la déformation d’un objet de « la réalité » (et je mets le mot entre guillemets) est saisie dans un autre objet de la réalité. C’est l’eau, la vitre, la surface réflexive qui piègent le réel et le donnent à voir autrement à qui sait, comme vous y parvenez, saisir l’instant de ce piège. Et le paradoxe c’est que ce jeu strictement visuel - vos photos sont absolument plastiques avec, vous le revendiquez clairement, des citations, allusions picturales, qui vont de Rembrandt à De Staël - possède une sorte de densité, d’épaisseur de temps, étonnante.
Il y a dans cette superposition d’images,... - Exposition
Adrienne Arth - Ville et transparences
Dans les photos de l'exposition « Ville et transparences » d'Adrienne Arth, présentée à l'Atelier Tampon Ramier du 24 novembre au 15 décembre 2007, la photographe va encore plus loin dans son choix de mise en scène du réel.
Ici, c'est le mouvement et la course, la masse et la couleur qui sont saisis. Jambes, pieds, corps, visages, gestes volés au sortir du métro, dans les reflets d'un immeuble, dans un train…
On a affaire à une désarticulation, un arrachage, comme au passage. Une sorte de halètement surgit, une ville apparaît : Paris, scarifiée d'humains, de vies, de traces. Les photos deviennent un jeu de matières et de formes où se superposent plusieurs strates. La photographe accentue là sa relation au pictural et convoque un autre regard sur le « photographié ». L'humain devient un...
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Communiqué de presse :
L’EXPOSITION
Transfiguring est le mouvement de photographie plasticienne, créé fin 2014, qui souhaite promouvoir un regard différent sur la photographie.
Réunis au Mans pour la première fois, les artistes fondateurs et leurs invités présenteront une centaine d’œuvres aux techniques et inspirations multiples. Une photographie non consumériste, non stéréotypée, non documentaire... Hors des conventions.
LE MOUVEMENT
Le mouvement Transfiguring a été fondé à Paris le 5 décembre 2014, par 7 photographes plasticiens : Adrienne Arth, Olivier de Cayron, Georges Dumas, Marie-Laure Mallet-Melchior, Françoise Peslherbe, Isabelle Seilern et VAM. Son b...
"Dans votre travail, la fragmentation, la métamorphose, la déformation d’un objet de « la réalité » (et je mets le mot entre guillemets) est saisie dans un autre objet de la réalité. C’est l’eau, la vitre, la surface réflexive qui piègent le réel et le donnent à voir autrement à qui sait, comme vous y parvenez, saisir l’instant de ce piège. Et le paradoxe c’est que ce jeu strictement visuel - vos photos sont absolument plastiques avec, vous le revendiquez clairement, des citations, allusions picturales, qui vont de Rembrandt à De Staël - possède une sorte de densité, d’épaisseur de temps, étonnante.
Il y a dans cette superposition d’images,...
Dans les photos de l'exposition « Ville et transparences » d'Adrienne Arth, présentée à l'Atelier Tampon Ramier du 24 novembre au 15 décembre 2007, la photographe va encore plus loin dans son choix de mise en scène du réel.
Ici, c'est le mouvement et la course, la masse et la couleur qui sont saisis. Jambes, pieds, corps, visages, gestes volés au sortir du métro, dans les reflets d'un immeuble, dans un train…
On a affaire à une désarticulation, un arrachage, comme au passage. Une sorte de halètement surgit, une ville apparaît : Paris, scarifiée d'humains, de vies, de traces. Les photos deviennent un jeu de matières et de formes où se superposent plusieurs strates. La photographe accentue là sa relation au pictural et convoque un autre regard sur le « photographié ». L'humain devient un...