
Pourquoi ? Ca ne se faisait sans doute pas, à l'époque.
Pour tout vous dire, on ne sait pas grand chose de sa vie. On sait juste qu'il aimait jouer à saute-mouton, se travestir avec ses amis, voyager, faire des balades en calèche et photographier son chien.
Nan, je vous charrie. C'était pour vous donner envie...
Émile Henri t'Serstevens était notaire bruxellois aux XIXe-XXe siècles. Ça, c'est le côté face. Le côté pile est plus intéressant : il était photographe. Oui, photographe-amateur, s'entend. Il n'était pas payé pour son travail photographique (il en avait déjà un autre) donc il s'amusait. Beaucoup.
Bon, il a quand même intégré l'Association belge de photographie en 1905. Ça n'est pas rien du tout.
Donc Émile - et sa femme, Marie - faisaient des photos de leur vie quotidienne. On pourrait croire, comme ça, que ça n'a d'autre intérêt qu'historique. C'est sans compter sur leur maîtrise technique et leur volonté de parvenir à figer exactement ce qu'ils avaient en tête.
Bon, on va s'arrêter là.
Si ça vous intéresse, les chercheurs de l'IRPA - l'institut belge qui a redécouvert le fonds photographique dans ses caves - qui sont à l'origine de l'idée du livre ont écrit un bel article qui vous dira tout, et même plus :
http://bit.ly/2upzsAs
Et puis, surtout, n'hésitez pas à commander ce beau livre, édité chez Husson en 2017 : "The t'Serstevens Collection"
http://bit.ly/2vjGeXb
Husson éditeur
éditeur belge spécialisé en livres de photographie
www.husson-editeur.be
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