Dimitri Dondyuk
Maxim Dondyuk bénéficiera dans ce cadre d’une résidence de 3 mois à la Cité des Arts de Paris, assortie d’une bourse, avec le soutien de la Mairie de Paris. Il aura aussi une exposition dans le cadre du Salon de La Quatrième Image 2015.
Son projet « Culture of confrontation » retrace les batailles de l’hiver 2013 qui ont changé l’Ukraine. Mettant en exergue les oppositions de la révolution ukrainienne : opposants-partisans, ombre-lumière, mauvais-bon. Il fait exploser les frontières de ces contrastes pour exprimer la grande confusion qui règne dans cette histoire toujours en développement.
Le Jury de la QUATRIÈME IMAGE a également distingués trois autres photographes :
2ème Prix / Mathilde Geldhof (France)
Elle remporte 3 000 € et une exposition au Salon de la Quatrième Image 2015.
Son projet des cinq images a été réalisé dans le cadre de la résidence Yishu 8 à Pékin.
Chaque image s’envisage comme un conte dont la trame serait la vie quotidienne des pékinois, l’ambiguïté entre le réel et la fiction prenant la forme de rencontres, dans des lieux où l’étrange pénètre par bribes.
Mathilde Geldhof
3ème Prix / Michael Goldbruger (Autriche)
Il remporte 1 000 € et une exposition au Salon La Quatrième Image 2015.
Sa série de photographies « Terrains Fluides » marque une tension entre le romantisme des paysages, du spectacle naturel, et l’aliénation consommatrice des hommes.
Michael Goldgruber traque alors dans les quartiers du centre de l’Autriche, les lieux où l’influence humaine a un impact fort sur l’aspect du paysage mais n’altère pas encore la beauté de la relation entre l’homme et la nature.
4ème Prix / Gilian Hyland (Irlande)
Elle gagne une exposition au Salon de la Quatrième Image 2015.
Gilian est une faiseuse d’image.
Son passé dans l’industrie visuelle en tant que styliste directrice artistique et scénographe l’a conduit à composer personnellement chaque aspect de ses photographies.
Son travail « Words in Sight » est inspiré par la poésie des émotions, les couleurs de l’imagination et du symbolisme.
Jouant sur la nostalgie de l’expérience, chaque image est un récit qui explore son « soi » dans la société.