© Guillaume Grasset
Galerie ANA 6, avenue René Coty 75014 PARIS
DEMARCHE ARTISTIQUES
Au fil de ses voyages, Guillaume se consacre à l'exploration des univers urbains, à la place laissée à la Nature et à l'homme.
NIGHT SUBSTANCES est une série dédiée aux ambiances de nuit profonde lorsque l’activité urbaine semble endormie.
Dans ces paysages urbains mais désertés, l’auteur nous emporte dans un voyage au cœur de la matière pour découvrir un environnement souvent mal perçu dans l’activité diurne. Il sait qu'il va alors pouvoir révéler la beauté des matières, des substances de la ville, du travail de l'homme.
A travers son regard, les lieux, qui, écrasés de soleil et envahis par la foule semblent tout à fait anodins, deviennent poétiques voire magiques dans cette ambiance presque irréelle de la nuit.
L’artiste sublime les rares lumières et amplifie la mise en scène à la frontière du mystique. Il cherche à personnifier ces lieux par le sens du détail de ses prises de vue donnant une nouvelle lecture au spectateur sur la place de l’homme dans la ville.
L’ensemble de ses projets sont réalisés en argentique au moyen format.
BIOGRAPHIE
Né à Nantes en 1973, Guillaume part vivre quelques temps à Los Angeles où se sera le déclic. Il y assistera de grands noms de la photographie comme Herb Ritts, David Lachapelle, Peter Lindbergh, Steven Klein, Craig Mc Dean, Sante d’Orazio... Michel Addi pour Vogue, puis fait la rencontre de Michel Figuet, et de Gauthier Gallet qu’il assistera sur les backstages à Paris et Milan.
Depuis, il réalisa des lookbooks de créateurs ; des reportages pour le Forum des Halles, Air France magazine, Modular Ligthing, Architecture à vivre etc...
Au fil de ses voyages, Guillaume se consacre à l'exploration des univers urbains, à la place laissée à la Nature et à l'homme. Par son regard quasi cinématographique, sans artifices, sans retouches, ni trucages, Guillaume révèle la réalité de la ville et de la vie moderne.
En mai 2006 deux œuvres photographiques sont vendues aux enchères à Drouot Richelieu. Malgré la crise qui assombrit le marché de l’art, une troisième œuvre est vendue en décembre 2008 à Drouot Montaigne.
