© Renato D'Agostin
«(...) Renato D’Agostin transcende toutefois toute cette iconographie et il étonne – s’il est encore possible de s’étonner des inventions imagées des photographes – avec une lecture de la ville par détails oniriques, par signes mystérieux qui ne veulent pas décrire, mais suggérer des atmosphères, des présences mystérieuses, décollées par la fumée invisible de la ville, ce brouillard permanent qui monte de la lagune vers ses habitants, et dans son livre ceux-ci n’ont pas de visage et ils apparaissent – quand ils sont là – comme des fantômes, confondus avec un duc-d’Albe ou avec la silhouette d'un pigeon survivant.»
Italo Zannier
Vignette : © Renato D'Agostin