15 photographies extraites de la série Juste une seconde (60 portraits réalisés sur film Polaroïd P55)
Marseille, été 97, au cœur de la Joliette
Au gré des croisements, mouvements et rencontres
Du quotidien ou de l’intime
Une soixantaine de visages familiers ou inconnus
Juste une seconde de pause
La lumière crue du projecteur
Un parti-pris de prise de vue frontale, égale et constative
Un portrait rapproché et cadré le plus serré
La pleine présence du visage vu de face
Et le sentiment de l’incomparable particularité de chaque être..
Chercher l’unicité dans la multiplicité
L.B