
L’âge d’or de la photographie
Dès son invention en 1839, la photographie rencontre un succès public considérable débordant très vite du cénacle parisien pour gagner la province et notamment l’Isère.
À Grenoble, Vienne ou encore Voiron, se développe sous le Second Empire une Loraison d’ateliers photographiques où la bourgesoisie vient se faire tirer le portrait. L’autre spécificité de la photographie iséroise de l’époque réside dans la production de nombreuses vues de paysages réalisées à l’intention des touristes fortunés.
Un hommage aux pionniers de l’image
Tout premier travail d’envergure sur les débuts de la photographie en Isère, l’ouvrage comme l’exposition qu’il accompagne, rend hommage aux artistes que sont Gustave Margain (1826-1907), Victor Muzet (1828-après 1885) ou encore Alfred Michaud (1828-1890). Riche de plus de 200 reproductions de tirages originaux, Couleur sépia témoigne de l’inventivité et de la créativité de ces acteurs de l’Âge d’or de la photographie.
Une histoire de la photographie en Isère
À la fois catalogue d’exposition et publication historique Couleur sépia dresse un panorama très documenté sur les débuts de la potographie en Isère en présentant le résultat des recherches inédites menées par un groupe d’érudits grenoblois.