Valérie Shum king
#Photographe
- Exposition
Exposition : « In My Head... » de Valérie Shum King
Comme la plupart de ses projets, Valérie Shum King commence souvent par un autoportrait qui finit par appartenir à la série ou disparaître. La photographe a débuté ce nouveau projet, “In My Head...” en se disant qu’elle souhaitait photographier ce qu’elle ressentait, ce qu’elle ne montrait pas forcément, ce qu’elle pouvait cacher aux autres parfois...
Pourquoi un endroit influence-t-il notre humeur? Pourquoi nous rend-t’il heureux sans raison apparente ou semble ne pas nous convenir? Pourquoi un endroit change t’il du tout au tout en fonction de notre humeur... Ces émotions, nous les cachons au regard de l’autre. Nous ne nous autorisons pas toujours de lâcher-prise. Même l’expression consacr&e... - Exposition
In My Head - Photographies de Valérie Shum King
In My Head...
Comme la plupart de ses projets, Valérie Shum King commence souvent par un autoportrait, qu’il finisse par appartenir à la série ou disparaître.
La photographe a commencé en se disant qu’elle souhaitait photographier ce qu’elle ressentait, ce qu’elle ne montrait pas forcément, qu’elle pouvait cacher aux autres parfois...
Pourquoi un endroit influence-t-il notre humeur? Nous rend heureux sans raison apparente ou semble ne pas nous convenir? Pourquoi un endroit change du tout au tout en fonction de notre humeur... Ces émotions, nous les cachons au regard de l’autre. Nous ne nous autorisons pas toujours de lâcher-prise. Même l’expression consacrée “Ça va?” est vide de sens. Une p... - Exposition
Mois de la Photo 2012-OFF: L'âge d'or présente «Ma vie rêvée» de Valérie Shum King
Tout est parti d’une réminiscence d’un jeu d’enfants. Quand tu seras grand, tu feras quoi ? Maîtresse d’école, gendarme ? Maintenant que nous avons grandi, que reste-t-il de ces rêves ? Valérie Shum King interroge : quand nous sommes seuls, qui rêvons-nous d’être ? Sans pour autant vouloir le réaliser. Comment la société nous influence-t-elle sans que nous ne voulions l’admettre. La photographe explore cette facette de notre identité sociale. Elle interroge des inconnus, recrée leurs rêves. Dans ce décor de bric et de broc, c’est leur personnalité qui ressort. Ils peuvent être tout ce qu'ils veulent, ce qu'il reste est seulement eux.
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Comme la plupart de ses projets, Valérie Shum King commence souvent par un autoportrait qui finit par appartenir à la série ou disparaître. La photographe a débuté ce nouveau projet, “In My Head...” en se disant qu’elle souhaitait photographier ce qu’elle ressentait, ce qu’elle ne montrait pas forcément, ce qu’elle pouvait cacher aux autres parfois...
Pourquoi un endroit influence-t-il notre humeur? Pourquoi nous rend-t’il heureux sans raison apparente ou semble ne pas nous convenir? Pourquoi un endroit change t’il du tout au tout en fonction de notre humeur... Ces émotions, nous les cachons au regard de l’autre. Nous ne nous autorisons pas toujours de lâcher-prise. Même l’expression consacr&e...
In My Head...
Comme la plupart de ses projets, Valérie Shum King commence souvent par un autoportrait, qu’il finisse par appartenir à la série ou disparaître.
La photographe a commencé en se disant qu’elle souhaitait photographier ce qu’elle ressentait, ce qu’elle ne montrait pas forcément, qu’elle pouvait cacher aux autres parfois...
Pourquoi un endroit influence-t-il notre humeur? Nous rend heureux sans raison apparente ou semble ne pas nous convenir? Pourquoi un endroit change du tout au tout en fonction de notre humeur... Ces émotions, nous les cachons au regard de l’autre. Nous ne nous autorisons pas toujours de lâcher-prise. Même l’expression consacrée “Ça va?” est vide de sens. Une p...
Tout est parti d’une réminiscence d’un jeu d’enfants. Quand tu seras grand, tu feras quoi ? Maîtresse d’école, gendarme ? Maintenant que nous avons grandi, que reste-t-il de ces rêves ? Valérie Shum King interroge : quand nous sommes seuls, qui rêvons-nous d’être ? Sans pour autant vouloir le réaliser. Comment la société nous influence-t-elle sans que nous ne voulions l’admettre. La photographe explore cette facette de notre identité sociale. Elle interroge des inconnus, recrée leurs rêves. Dans ce décor de bric et de broc, c’est leur personnalité qui ressort. Ils peuvent être tout ce qu'ils veulent, ce qu'il reste est seulement eux.
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