Madame Figaro + prix photo = 100% de photographes femmes. Égalité ou égalitarisme ? Le site du magazine annonce aujourd'hui le lancement de son concours de la photo, en partenariat avec... Les Rencontres d'Arles. Autant dire que c'est du sérieux. Ce prix récompensera chaque année une femme photographe dont le travail est exposé à Arles. Dans la foulée de cette annonce, qui sera réitérée à Arles samedi prochain, les dix nommées ont été désignées. Le jury, extrêmement éclectique et prestigieux, mais davantage paritaire, est déjà connu également.
© Alinka Echeverría / Rencontres d'Arles
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Press release - The exhibition Dominique Lambert / Le Pourquoi Pas? presents two series by the French photographer Stéphanie Solinas. In her work, Solinas attempts to materialise abstract concepts such as identity or the spiritual in a systematic and factual manner. She employs photography as a part of a diverse array of research methods – alongside language, video and installation. The research process is central to her practice; by collaborating with experts from various disciplines Solinas investigates the shared role of the artist, the scientist and the medium as moderators of reality. Her methodical approach stands in stark contrast to the more subjective character of her subject-matter: identity, memory and the invisible world of the mind. Foam showed Solinas’ work before, in 2012 her project San...
En 2015-2016, le CPIF et le FRAC Haute-Normandie se sont associés pour présenter une exposition rétrospective du travail du photographe Gilles Saussier. Pour le second volet de cette exposition au CPIF, Gilles Saussier invite Stéphanie Solinas à dialoguer sur l’identité que la photographie construit ou déconstruit.
Que faire de ses dix doigts © Stéphanie Solinas
Confrontant des extraits de leurs principaux projets photographiques et éditoriaux, Sans titre. M. Bertillon, Déserteurs et Dominique Lambert pour Stéphanie Solinas, Le Tableau de Chasse, Spolia et Studio Shakhari Bazar pour Gilles Saussier, les deux artistes abordent l’identité non pas comme un bien propre, donné et intérioris&ea...
« Déserteurs » est un projet réalisé au cimetière du Père Lachaise à Paris. Il fait écho aux œuvres de trois hommes illustres reposant en ce lieu : Valentin Haüy (1745-1822), premier instituteur des aveugles, Nadar (1820-1910), fameux photographe portraitiste, et Alphonse Bertillon (1853-1914), inventeur du signalement anthropométrique. Déserteurs répertorie les reliquats des portraits photographiques de défunts qui ornaient les tombes du cimetière et que le temps a détruit. Parcourant les 70000 sépultures du Père-Lachaise, l’artiste a identifié et photographié 379 « disparitions ». Prolongeant le questionnement sur les lieux où la mémoire « adhère », Stéphanie Solinas déploie son projet en 2 temps et 2 espaces : Déserteurs (I...
In Sans Titre (Monsieur Bertillon), Stéphanie Solinas (France, 1978) investigates the identification system invented by Alphonse Bertillon in the 1880's.
Bertillon (Paris, 1853 - 1914) was a French police officer who developed "judicial anthropometry", based on physical measurements and photography. Anthropometrics was the first scientific system to be used by police to identify criminals (previously, the only way was to use unreliable eye witness accounts).
Bertillon's method was eventually eclipsed by fingerprinting, but his contributions, such as the mug shot and the system of photographing the crime scene, remain in use today. His system has been progressively extended to all individuals; for Solinas, our face is a surface where Bertillon's inquisitive presence still remains.
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