2004 Diplôme de l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris dans la classe de Joachim
Brohm, et poursuite depuis les cours de la Meisterklasse de Timm Rautert.
2002 Etudiante invitée à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris
De 1998 à 2000 Etudes de communication visuelle à Potsdam et, depuis 1997, de la photographie à
la HGB de Leipzig.
De 1994 à 1998 Etudes de photographie à l'Institut pour la photographie d'Opava, République
Tchèque.
Expositions personnelles (sélection) :
2004 "outdoor", Kunstverein, Leipzig
2003 "Two Japanese People Who Are Looking At ... ", Institut Français, Leipzig
"bricolage", Kunstmuseum Bonn
2002 "urban layers", Galerie framework, Berlin
Expositions collectives (sélection) :
2005 "alles was glänzt", Kunstverein, Göttingen
"AND", Amerika, Berlin
2004 "Der Sprung im Wasserglas. Verfahren im Raum", Kunstraum B2, Leipzig
"Junge Kunst 9", Galerie Kleindienst, Leipzig
2003 "Engpass", Galerie Barakk, Berlin
"Your Present Is My Perfect", Kunstverein, Leipzig
"Demokratie als Prozeß", Neustadt a.d. Orla
Une grande partie des travaux de Stephanie Kiwitt est issue de séjours dans des villes européennes comme Prague, Budapest, Madrid, Paris, Marseille. Ses images scénarisent la vie quotidienne en superposant l'anonymat urbain, des signes de vies individuelles, la précarité de la vie moderne et la normalisation d'états d'exception.Ses photographies naissent dans l'espace public, la plupart du temps dans des zones urbaines mal définies, ou dans des quartiers d'habitation à la périphérie de grandes villes.
De par sa conception de l'image, les photographies de Stephanie Kiwitt sont davantage des natures mortes ou des paysages. D'une composition très subtile et précise, ses clichés font ressortir les fractures de l'espace urbain (les constructions et improvisations de fortune que les hommes se sont aménagées dans le découpage fonctionnel urbain), aussi bien que les blessures et les mépris de cet ordre établi.
Madame Figaro + prix photo = 100% de photographes femmes. Égalité ou égalitarisme ? Le site du magazine annonce aujourd'hui le lancement de son concours de la photo, en partenariat avec... Les Rencontres d'Arles. Autant dire que c'est du sérieux. Ce prix récompensera chaque année une femme photographe dont le travail est exposé à Arles. Dans la foulée de cette annonce, qui sera réitérée à Arles samedi prochain, les dix nommées ont été désignées. Le jury, extrêmement éclectique et prestigieux, mais davantage paritaire, est déjà connu également.
© Alinka Echeverría / Rencontres d'Arles
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Sans la photographie, le libre-échange des marchandises, tel que le capitalisme la développé en 200 ans, serait impensable. Cest dailleurs aussi lâge approximatif de la photographie. Et à lère des ventes sur internet, une suite de ventes par catalogue, ce propos ne peut que gagner en importance.
Lexposition FÉTICHISMARCHANDISE réunit trois artistes, Annette Kelm (1975, vit et travaille à Berlin), Stephanie Kiwitt (*1972, vit et travaille à Bruxelles) et Ricarda Roggan (*1972, vit et travaille à Leipzig), dont le travail interroge partiellement ou principalement la nature de la représentation des choses à consommer que le marché de léconomie capitaliste propose à ceux qui ont le pouvoir de ...