Trois auteurs se rencontrent ici pour la première fois. Ils sont de culture et de provenance différentes. Chacun évoque des mères d'enfants éloignés ou disparus. Chacun désigne la violence d'un absence si forte et douloureuse qu'elle devient présence. Les portraits longuement approchés de Sophie Bachelier alternent avec les textes de Boucabar Boris Diop (sélection prix Renaudot 2011 pour Murambi, le livre des ossements) et Nando dalla Chiesa.
Chronique de Jean-Michel Djian in "Le monde Diplomatique" : Textes et photos alternent-là dans une mélopée qui vient se fracasser dans la solitude et la souffrance de ces mères fixées sur les côtes sénégalaises, en Sicile ou ailleu...
Communiqué de presse
L’Association les petits frères des Pauvres a eu recours à la photographie comme moyen de communication à la fois institutionnel et militant dès les années 1980 avec le projet d’une grande exposition sur l’image de la vieillesse conçu dans la perspective du 40ème anniversaire de sa fondation.
L’association fait ainsi partie des premières organisations humanitaires qui, en France, ont perçu la place que la photo était en train de prendre comme art majeur dans notre société.
C’est à partir de cette époque en effet qu’a explosé le nombre des événements proprement photographiques (expositions, salons, rétrospectives, festivals et...