Sébastien Duijndam navigue entre plusieurs univers, le documentaire et l'abstrait, la vidéo et la photo. Loin d'en être encombré, il tire parti de ce mélange des genres. Infatigable voyageur, que ce soit pour des missions avec Médecins du Monde, ou pour des séries plus personnelles, le jeune artiste bouillonne d'idées et de projets. Sur son site, l’éclectisme est de mise, entre des séries purement artistique comme « Les Passants », « Nuit » ou « Reflets » et d'autres dans un style plus documentaire comme « SDF sous la tente», « Migrants » ou « Au pied des montagnes ».
Actuphoto l'a rencontré à son retour de Centrafrique, où il s&...
Inspiré par la trilogie de « L’errance » du réalisateur Gus Van Sant, et par le peintre allemand Caspar David Friedrich, Sébastien Duijndam a une démarche esthétique mais également mystique.
Son travail photographique invite à la perte et à une nouvelle perception à travers la signification symbolique. Il raconte une histoire et peint les couleurs, les formes et les mouvements. L’écriture de Sébastien transforme le quotidien en un scénario qui permet au spectateur de voir derrière le paravent et de se rêver lui-même.
Le photographe questionne l’après-image, le hors-champ, l’espace l’au-delà. On trouve cette référence dans l’œuvre de Frie...
Il dort, elle réfléchit, les autres sont ailleurs…
Les espaces se mêlent, les sensations se confrontent.
La campagne entre dans le train, la nature dans le TGV, la ville dans le métro : des bribes de réalité s'invitent dans des bulles de solitude. Et le reflet, plus doux que le regard direct, suggère un autre univers.
Comme si le dehors venait emplir le dedans, comme si le mouvement permettait d'atteindre une fixité absolue.
Entrée libre pour les spectateurs munis d'un billet tous les jours de 12h00 à minuit
Pour les spectateurs n'ayant pas de billet : exposition ouverte en semainede 12h00 à 19h00,samedi de 12h00 à 16h00, dimancheet jours fériés de 12h00 à 15h00....
« Les espaces se mêlent les uns aux autres.
La campagne entre le train, la ville dans le métro.
Les êtres dorment ou réfléchissent, chacun plongé dans sa bulle,le visage traversé par la réalité du dehors. »...